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Date : 2 janvier 2021

J’ai oublié ça, sous une pile d’autres choses !
Dagmara Kraus — (bio sur le site de Poezibao) —que j’ai connu lors d’un échange-atelier de traduction à Marseille en mai 2014

Je ne parle pas un mot d’allemand, c’était un peu difficile de traduire son texte avant de la rencontrer (c’était la règle du jeu), mais les amis allemands à qui j’ai demandé de l’aide n’y arrivaient pas non plus, vu qu’elle “invente” sa langue et que son texte n’était que jeux de mots…
(Entre temps j’ai changé d’ordi, et je n’ai pas retrouvé tous les doc en allemand!)
Finalement, j’ai réussi (rétrospectivement je me demande bien comment!) à transformer son texte en français, touche finale quand on s’est rencontré…

& comment rendre compte de son écriture, où le sens ne fait pas tout…, lors de la soirée de clotûre de ces 2 jours de rencontres..
J’avais trouvé ce procédé

et quand je retrouve ça aujourd’hui, alors qu’avec Jean-Pierre on met au point la maquette du jeu de cartes avec nos bols,
dont le texte est composé par l’enchainement des prénoms


je me dis que je m’étais donc exercée avant!!
(Quand même, pour la seconde phrase composée de 24 prénoms et trouvée-cherchée lors d’un voyage en RER d’1h40 en rentrant de chez Jean-Pierre, je me souviens de cette impression très particulière d’avoir la tête qui chauffait fort, comme l’ordi quand il y a besoin urgent de ventilation…!!)

Revenons au début : Dagmara m’a recontacté en septembre 2020

& en décembre, son courrier m’attendait dans la BàL

La maquette de la revue est d’autant plus déconcertante quand on ne parle pas la langue (mais le français m’aide!), avec le “début” au milieu…

Jolie idée de maquette, où il n’y a pas de fin

& pour les germano-pratiquants, un poème de Dagmara

Toujours pour la traduction, cet extrait d’interview qu’on devrait distribuer avec les tracts électoraux 

Changeons de sujet, car en recherchant une photo de cette expérience avec Dagmara, j’ai retrouvé aussi celle-ci, d’un épisode qui avait lieu en même temps.
C’est la 1ère fois que je voyais ça, et à Marseille, un échouage de vélelles

et une 2nde video qui me semble bien plus belle (allez jusqu’à la fin…!!)

 

& puis, en 2014 aussi, un peu après, début octobre, j’ai fait un atelier d’écriture à l’Espace de l’Art Concret à Mouans-Sartoux

De l’usage des agendas, j’y pioche ça :

j’ai été très surprise par les mots des enfants, petits, dont certains n’allaient pas bien… (en en parlant avec les instit, ça ne semblait pas les émouvoir particulièrement..)


Les soux bloquent tout...

Au paradis les sou ne saire à rien…

Un petit gamin qui vivait seul avec sa maman au chômage,
qui se débattait (et lui aussi…)
pour qu’ils puissent vivre…


certaines formulations remarquables

& nous sommes sur la côte d’Azur, faudrait quand même pas l’oublier ..:

& pour finir en vitesse justement, toujours de la “traduction”, de l’argot cette fois

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