Nouvelle vitrine ce dimanche au Lieu/lien, avec Iris qui a fait briller les vitres pour Sana :
Affaire à suivre, dans le bon sens nous l’espérons…
& puis, au dernier atelier Français/arts plastique, toujours en poursuivant nos cartes de l’alphabet, on est arrivé à la lettre X ; pas facile de trouver une dizaine de mots commençant par X (même quand on parle parfaitement français!!)
C’était l’occasion d’apprendre un nouveau mot que personne n’avait jusqu’alors entendu :
En explication du dessin (d’un jeune garçon), le xénophobe (on dirait un nom d’animal préhistorique) pointe son pouce vers le bas, pour dire “ils sont nuls” !
(Vous me direz, dans le dictionnaire, il y a aussi “Xénophile”, mais l’avez-vous déjà entendu et employé ?)
Pour le Printemps des poètes cette année à Pec à Tulle (car j’ai été à Montpellier samedi dernier, à suivre, bientôt..!!)
& justement cette semaine à la Cave Poésie à Toulouse, il y avait une lecture en LSF de petits textes de Serge Pey, dont “La boîte aux lettres du cimetière” (ed. Zulma)
C’est sur fb (pas besoin d’y avoir un compte pour regarder), là
(regardez tout, c’est très beau, mais si vous êtes pressé, le texte La bàL du cimetière est autour de la minute 29)
La BàL sur la tombe de Machado, au cimetière de Collioure
& puis aussi, si d’autres lectures LSF et interview d’écrivains vous intéressent, il y a Byblos, toute une bibliothèque visuelle et sonore (en construction) accessible là
Atelier 15 – jeudi 25 mars 2021
Il y a peu, j’ai entendu le rabbin Delphine Horvilleur citer un passage de la bible :
“Caïn dit à Abel
il se leva et tua son frère”
On ne sait pas ce qu’il lui dit. Ou ne sut, ne put lui dire.
Il y a un fantôme dans la phrase, un manque.
Est-ce que le 1er assassinat provient d’un déficit de parole ?
Il manque le fin mot de l’histoire.
En hébreu, on utilise le même mot pour dire violence ou mutisme.
Le terme intelligence de la langue française est emprunté au latin intellĕgentĭa, lui-même dérivé du latin intellĕgō (« discerner, démêler, comprendre, remarquer ») dont le préfixe intĕr (« entre, parmi ») et le radical lĕgō (« ramasser, recueillir, choisir ») donnent le sens étymologique « choisir entre, ramasser parmi (un ensemble) ».
En hébreu, le mot intelligence c’est aussi “entre 2” ; c’est la capacité d’habiter plusieurs mondes en même temps.
La traduction, la relation entre les langues est l’intelligence en mouvement. Aller entre, vers l’in-fini. C’est la condition de toute rencontre.
Même quand on parle la même langue qu’un autre, il y a interprétation; toujours la possibilité d’un malentendu (en tant qu’il se fonde sur l’illusion de la compréhension mutuelle).
C’est même la nécessité du dialogue.
Lacan nous dit que “Le langage, avant de signifier quelque chose, signifie pour quelqu’un.”
“Le dialogue paraît en lui-même constituer une renonciation à l’agressivité.”
«Tous autant que vous êtes, qu’êtes-vous d’autre que des malentendus? Le nommé Otto Rank en a approché en parlant du traumatisme de la naissance. De traumatisme, il n’y en a pas d’autre: L’homme naît malentendu. […] Le corps ne fait apparition dans le réel que comme malentendu. Soyons ici radicaux : votre corps est le fruit d’une lignée dont une bonne part de vos malheurs tient à ce que déjà elle nageait dans le malentendu tant qu’elle pouvait. C’est ce qu’elle vous a transmis en vous “donnant la vie”, comme on dit. C’est de ça que vous héritez. Le malentendu est déjà d’avant. Pour autant que dès avant ce beau legs [la vie], vous faites partie, ou plutôt vous faites part du bafouillage de vos ascendants. Pas besoin que vous bafouilliez vous-même. Dès avant, ce qui vous soutient au titre de l’inconscient, soit du malentendu, s’enracine là».
Ce que Caïn dit à Abel permettrait de dire que “les paroles s’envolent, les écrits restent”.
Mais les paroles ne s’envolent pas toutes et certaines restent gravées en nous bien plus profondément qu’un écrit sur un support.
Le livre de traduction par excellence est la bible.
En rappelant qu’il n’y a aucune lecture hors contexte. D’où tu parles ? D’où tu lis ? Le texte + le contexte n’a jamais fini de dire. Relire, reprendre.
Débusquer les voix cachées comme autant de (sous)sub -versions du texte.
(extrait de Mon père et ma mère de Aharon Appelfeld)
Sur le site de l’Alliance biblique, on peut lire en parallèle différentes traductions
ou encore
il y a aussi la traduction d’André Chouraqui, au plus près de la langue “originale”, qui a aussi traduit le Coran :
En 2001, est paru une édition “remarquable” de la bible chez Bayard, résultat de plusieurs années de travail de traduction entre des exégètes et des écrivains contemporains (romanciers, poètes, philosophes, dramaturge).
ci-dessous, extraits de la préface :
[…]
[…]
[…]
• • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • •
1 — Voici différentes traduction du début du ch. 4 de la Genèse :
(trad. F. Boyer / Jean L’Hour- 2010)
(Trad. A. Chouraqui- 1985)
Qu’est-ce que Caïn a dit à Abel ? (inspirez-vous de la forme biblique, même si vous utilisez la langue de 2021)
Dominique :
Clara :
Manée :
Martine :
2 — Caïn part à l’est d’Eden (voici différentes traductions)
Décrivez sa vie, comme dans un western
Clara :
Dominique :
Martine :
Manée :
3 — Voici des extraits de A l’est d’Eden, de John Steinbeck
Vous aussi, un jour dans une situation familiale ou amicale, vous êtes retrouvé devant un fort sentiment d’injustice, mal compris.e, mal aimé.e au profit de quelqu’un d’autre.
Décrivez la scène, ce que vous avez vu, pensé, compris, ressenti….
Yvette :
Dominique :
Clara :
Martine :
Manée :
4 — Toujours avec Steinbeck :
Timshel : TU PEUX ou TU PEUX NE PAS (Steinbeck publie A l’est d’Eden en 1952)
Résonne avec le JE PRÉFÈRERAIS NE PAS (I would prefer not to) de Bartleby de Melville (publié en volume en 1856)
Faites-moi une liste en mélangeant/mise en rapport des
JE PEUX / JE PEUX NE PAS / JE PRÉFÈRERAIS NE PAS
Dominique :
• A Arromanches, ci-git le corps d’une discrète personne…
Ce n’est pas comme le caisson 449 sur la plage, qui fait partie (jusqu’à quand) du paysage retrouvé lors de ce court séjour…
Mais cette fois, il y avait trop de vent glacé pour marcher agréablement à marée basse, bien que ce soit l’avant-printemps…
& à Bayeux les chevaliers attendent que la verdure les remplument, avec leurs casques assortis aux lampadaires, sur ce rond point particulièrement remarquable…
• Vous ne verrez pas cette affiche à Tulle (il y en aura 5 autres en ville au mois d’avril)
Elle n’est pas très politiquement correcte en ces temps où justement, on peut crever sans poésie ni bouée ni air…
• L’autre soir sur France Inter, Laure Adler invitait Delphine Horvilleur, et c’est une bien belle voix (et voie)
Dans le judaïsme, au cimetière, on déchire un vêtement pour bien faire comprendre à l’endeuillé qu’il pourra le recoudre mais qu’on verra toujours l’entaille.
& puis, tous les silences bibliques à interpréter… ; je pensais que ça interesserait Jean-Pierre et son travail sur le son, mais c’était pas le jour..!
regardez autour de la minute 41 pour le début de l’histoire, et autour de 1: 40 pour la suite !
• & aussi, c’est l’occasion de montrer ces peintures d’un peintre suédois (mort) que je viens de découvrir par hasard (!), Hans Wigert :
La charge
Ange de bain (traduc google du titre suédois)
Début du printemps
Bain d’automne
• Un autre bain, d’été (?) et heureux, celui de Karima Duchamp (qui est aussi céramiste) :
et cette œuvre de Frédérique Lucien, qui est à l’artothèque et qui m’a tapé dans l’œil :
Issu d’un travail exposé à Vassivière intitulé : Oh! Solitude des rivages incertains, extraits de relevés sur le bord mouillé d’un étang à chaque passage de vague
(sérigraphie sur Priplak)
• Au bord d’un étang, ailleurs, il y a un accident qui laissera des tracés invisibles, si tout se passe bien à la réparation…
• & puis, une gravure ancienne des eaux souterraines, qui circulent et circonvoluent comme les pensées…
qu’il faut parfois capturer au lasso
Atelier 14 – jeudi 11 mars 2021
Cette année le Printemps des poètes a pour thème le DÉSIR.
Quelle profonde inquiétude, quel désir d’autre chose,
Autre chose qu’un pays, qu’un moment, qu’une vie,
Quel désir, peut-être d’autres états d’âme…
S’exclamait Fernando Pessoa sous le masque d’Álvaro de Campos.
En portugais aussi, le désir nous relie aux étoiles.
Desiderare signifie en latin « cesser de contempler les astres ».
Comme un ciel étincelant d’absences. Une aimantation vitale. Un souhait ancestral, jamais élucidé, jamais rassasié, jamais exaucé.
Entre le pur et l’impur, le désir ne cesse d’osciller. Et c’est bien pourquoi le sujet y a sa part, lui, qui ne cherche qu’à trouver la place de son désir.
Jacques-Alain Miller (psychanalyste)
Le désir ne relève pas de la nature : il tient au langage. C’est un fait de culture, ou plus exactement un effet du symbolique. Le désir n’est concevable que chez les êtres parlants. On peut l’expliquer comme ceci. Dans l’espèce humaine, le petit ne peut seul satisfaire ses besoins les plus élémentaires, il doit en passer par un Autre, majuscule, capable de les satisfaire, et pour ce faire parler son langage, lui adresser une demande. Tout découle de là. Cet appel fait de l’Autre un objet d’amour. Simultanément, la transposition du besoin en demande produit un décalage : c’est là que se loge le désir. Il court sous tout ce qui se dit, y compris dans vos rêves, sans pouvoir être dit en clair. C’est pourquoi il donne matière à interprétation.
Le désir n’est pas coordonné à un objet naturel ou social. Son objet ne se trouve pas dans la réalité commune, mais dans le fantasme individuel. Comme tel, ce n’est pas un objet dont on a besoin, et on ne peut l’obtenir par la demande. C’est plutôt un objet qui, si je puis dire, vous coupe le sifflet.
Le désir n’a pas à proprement parler d’objet. Le désir est défini – c’est une citation – comme « métonymie du manque à être ». […] C’est pourquoi Lacan avait fixé cette image du Saint Jean de Léonard, souvent commentée, le doigt levé vers toujours ailleurs.
1 —
En prenant pour point de départ le poème de René Daumal, et traitant de votre désir de…, faites-moi une liste “qui se mord la queue”…
Clara :
David :
Isabelle :
Sylvain :
Martine :
Dominique :
Marie-Jo :
Manée :
de la distance et du désir …
Je m’approche
tu me fuis
tu t’approches
je m’éloigne
tout près
trop près
trop longtemps
plus rien
mais trop loin
trop longtemps
plus rien.
2 —
En prenant pour modèle le poème de Yannis Ritsos, développez votre texte 1 en poème
Marie-Jo :
David :
Clara :
Martine :
Dominique :
Manée :
Désirer ou ne pas désirer
Désirer pour s’accrocher aux étoiles,
escalader l’impossible,
Ne pas désirer pour ne pas s’accrocher
ne pas s’arrimer,
Désirer pour sentir le sang battre dans
ses tempes et partout
Désirer pour embrasser le monde
et les êtres et les arbres
les pierres et les fleurs
les libellules au dessus de l’eau,
Ne pas désirer pour essayer
le goût de la mort
et du renoncement,
Désirer, désirer
tant qu’il est temps,
narguer la bonne distance…
3 —
à partir du poème de Florentine Rey et de la citation de Fernando Pessoa, faites un petit texte en 6 développements qui se suivent et s’enchainent
Sylvain :
Marie-Jo :
Isabelle :
David :
Dominique :
Clara :
Manée :
L’histoire a commencé
par un fracas solitaire
une odeur âpre d’enfance mouillée
Des chemins indécis
qui ramenaient toujours
aux mêmes portes
Des parcelles de seigles bleus
et des lointains fuyants
L’histoire a commencé
par des départs- retours
des allées de hêtres
Des vents qui portaient l’ailleurs
et l’absence de la mer
Des lignes Maginot
et le pas suspendu de la cigogne.
4 —
à partir de la présentation en haut de page, Saint Jean-Baptiste (tableau de Leonard de Vinci) vous nargue, le désir vous renvoie aux étoiles, ça vous coupe le sifflet…
& votre désir…, dans tout ça ?
En suivant le modèle du poème de Charles Juliet
Martine :
Marie-Jo :
Aimer pour répondre à mon égo insatisfait
Aimer pour verbaliser mes sentiments apprendre à les domestiquer
Aimer pour ne pas être seule
Aimer pour oublier qu’on ne m’a pas toujours aimée
Aimer pour vivre mieux dans un monde meilleur
Aimer pour remercier la vie
Aimer pour conquérir l’inattendu l’inespéré
Aimer pour vivre mes rêves
Aimer pour tuer les croyances et les liens qui nous entravent
Aimer les différences, mes peurs les planètes inconnues, mes ennemis.
Aimer pour rompre les chaines qui nous emprisonnent
Aimer pour quitter ma vie étriquée
Aimer pour me sentir aimée
Aimer pour découvrir un corps, pour le rejoindre dans l’intemporel, pour découvrir son moi intime et peut être ainsi pour construire un nous sans borne.
Aimer pour oublier que je ne m’aime pas.
Aimer pour ne pas sombrer
Aimer pour ne pas mourir.
Clara :
Croire pour briller
Croire pour se découvrir.
Croire pour se définir.
Croire pour être sincère.
Croire pour avoir confiance, en soi, en l’autre, en l’avenir.
Croire pour avoir un but.
Croire pour garder le cap.
Croire pour imaginer, parcourir, explorer sans privation.
Croire pour comprendre mieux
Et mieux écouter l’autre.
Croire pour aider.
Croire pour approcher l’espoir,
Pour accrocher la joie.
Croire pour garder dans la vie
Une forme de gratitude.
Croire pour s’autoriser l’insouciance.
Croire pour s’autoriser le doute.
Croire pour accepter la solitude et le repos.
Croire pour être toujours plus déterminée et audacieuse.
Croire pour vibrer.
Croire pour danser.
Croire pour s’émouvoir.
Croire pour s’essayer au vertige du risque.
Croire pour se donner le droit d’être autre, inconnue ou différente.
Croire pour se réinventer.
Croire pour apprendre à être égoïste.
Croire pour pardonner à la folie humaine
Et aux passions déchirantes.
Croire pour apprivoiser et pour compatir.
Croire pour pallier à l’absurdité.
Croire avec ivresse.
Croire sans raison.
Croire pour se nourrir de la rencontre
Et ne plus craindre l’abnégation.
Croire pour avancer.
Croire pour s’investir.
Croire pour soulever des questions
Et en accueillir les réponses.
Croire pour tenir face au drame.
Croire pour lutter dans la sororité.
Croire pour construire des jours meilleurs.
Croire pour secourir son corps
Comme un ami, un refuge, un phare dans l’errance.
Croire pour se sentir forte et vivante.
Croire pour briser les carcans
Qui obstruent nos en-dedans.
Croire pour être libre
Et lumineuse.
Sylvain :
Manée :
Un tas de folies
une odeur de folie
des couleurs de folies
disons peut être
deux cents à trois cents
brins de folies
des folies seule
ou à deux ou trois
ou beaucoup plus
des folies ordinaires
extraordinaires
permises
interdites
une folie particulière
des folies dangereuses
des folies superbes
deux folies jumelles
des folies connues
et d’autres pas du tout
des petites folies
et des grandes
des folies brèves
et d’autres interminables
des folies à vie…
Isabelle :
Partir sans faire de bruit
Partir pour un autre monde
Partir pour une autre planète
Partir pour ne pas souffrir de l’absence de l’autre Partir pour découvrir d’autres pays
Partir sans laisser de traces
Partir sans laisser d’adresse
Partir dans le vague à l’âme
Partir pour se chercher se retrouver
Partir à la recherche du temps perdu
Partir sans états d’âme
Partir en vélo,moto, bateau ,dos de chameau Partir……….
Dominique : Envie d’ailleurs
Ailleurs, là où tout paraît plus beau
Ailleurs,là où tout semble possible
Ailleurs, là où on peut tout oublier
Ailleurs, là où tout reste à construire
Ailleurs, là où quelqu’un m’attend peut-être
Ailleurs, lieu de toutes les rencontres
Ailleurs pour marcher, pour contempler, ouvrir enfin les yeux,
Ailleurs pour plonger, se perdre, se retrouver
Ailleurs pour savourer et s’enivrer d’alcool,de parfums et d’ambiances
Ailleurs, pour sentir, ressentir, partager, laisser aller et venir les sentiments comme des vagues…
Les vagues du désir
Désir d’ailleurs ici.
Des choses restées dans l’ordinateur faute de temps, les voilà, avec du retard !
• Cette années, en février, pour la poésie affichée en ville, il y avait les affiches de Pierre Soletti, avec la Cave Poésie ; en voilà 3, il y en avait d’autres, disséminées dans Toulouse
• Avec David Molteau de l’artothèque, nous avons commencé à Pec, depuis février, un atelier français/arts plastiques le mercredi après-midi, avec des participants de tous âges (un jeune garçon, des jeunes adultes, des adultes) qui sont au Secours Populaire.
Ces séances passées, nous avançons sur la constitution d’une boite à mots et à images, en procédant alphabétiquement ; chacun cherche une liste de mots, noms, verbes, puis en sélectionne 2 en expliquant pourquoi et les illustre.
Nous apprenons des mots, leur orthographe parfois compliqué, et nous rigolons bien en essayant de deviner par le dessin les mots représentés par les autres…
Par exemple, 3 mots qui commencent par B. Vous trouvez ? C’est facile !
Pour la lettre J, il y a le juge, mais aussi la J—————
et 3 représentations du J—————
En M, monter à la montagne…
et un dessin qui donne envie de suivre la prescription…
Nous poursuivons nos 26 lettres, avec l’aide de l’I——————————….
• & puis, si vous habitez au Havre ou pas très loin, allez voir cette exposition de Dominique Dureau ! je rage d’habiter trop loin!
Coup de téléphone de Yann, pour une page du programme de la Cave Po, à Toulouse ;
allez, on adapte l’affiche en typo, que j’ai collé vendredi sur la vitrine du Lieu/lien qu’on vient de vider-quitter
(sauf la vitrine, au moins, on n’a pas tout perdu!!)
Avec leur charte Pantone (et heureusement que j’avais traité les vagues à Marseille sur l’ordi à partir de l’impression typo!), et en cherchant désespérément une typo qui ressemble à une typo bois qu’on a à l’atelier et que j’avais failli utiliser…
Version numérique, c’est bien aussi !!
(mon affichage des couleurs laisse à désirer..)
Du coup, dans l’élan :
Avant de refaire la vitrine du L/L avec Jean-Pierre Larroche, de passage:
& du coup le soir, de reprendre le fichier numérique, pour une nouvelle affiche (avec les couleurs de la Cave Po pour l’essai, on verra après à Marseille avec Christine…)
et pour dormir, une autre façon de compter les moutons…