Parce que ça me semble une discussion importante (suite)
réponse de Federico, qui nous invite à réfléchir :
Est-ce qu’en remettant cette pendule à l’heure lors de la prochaine séance de cinéma le 12 avril, on pourrait faire que ce verrou se dégrippe ?
En collant les petits textes le soir, on a pensé aux ami.e.s lors de notre tournée ; ainsi, celui-ci sur la porte du jardin d’Iris :
Le temps est magnifique, nous partons en goguette à Saillant. Avec une surprise de taille que me fait Iris, en poussant la porte de la chapelle toute simple du village : les vitraux y sont de Chagall..!
Mais ce sont ceux du côté les plus simplement remarquables
Une vue plus d’ensemble (impossible d’avoir ce recul dans la chapelle!), trouvée sur le net
& puis, une très belle sculpture polychrome derrière des barreaux de prison, pour éviter les voleurs
A noter aussi que les cloches vibrent longtemps,
et que cela rajoute à la puissance spirituelle du lieu
(je ne parle pas de croyance, mais de ressenti…)
& puis aussi, cette inscription très claire du monument aux morts
Au soleil du Café de la tour au village d’à côté, nous nous réjouissons de cette journée comme un cadeau du ciel à partager
Avec, pour intro-guide, une chronologie
Déjà, vous pouvez relirelà
et puis aussi, retrouver Jean-Marie Massou là (et penser à la séance de la prochaine fois)
sur le net, on peut voir ça (c’est bien mieux que rien!) :
Il y a des complaintes inoubliables :
& puis, pour s’en mettre plein les oreilles de la tête,ici
Après les 2 séances et les 4 films, on cause avec Sylvie dans sa cuisine.
Ce serait bien de se retrouver le lendemain des projections mensuelles de Pec programmées avec Federico, pour parler des films vus. Un peu comme les séances de David à l’artothèque, qui fait parler les gens devant les œuvres, à proposer une analyse sans discours savant, basée sur observations et ressentis, complémentaires des explications et commentaires de Federico-historien du cinéma….
justement, en lisant Didi-Huberman quelques jours plus tard :
& puis, question art brut et cinéma, elle me parle de Jean-Jacques Rousseau, le cinéaste belge, que je ne connais pas
du musée du Dr Guilain, à Gand
& puis aussi, le photographe tchèque dont Federico nous a parlé
Miroslav Tichý
Faut aussi dire que Sylvie enfant aimait bien aller voir (et entrer dans) la soucoupe volante de Germiniac, non loin de chez elle…
Suite de l’éphéméride.
Cette fois avec les textes imprimés sur papier kraft.
Avec Dominique, lundi 21 à Tulle, on a collé beaucoup de petits papiers à la nuit tombée.
Poche droite, des extraits de textes d’auteur.e.s, en Baskerville ; poche gauche, des extraits de textes de l’atelier d’écriture, en Helvetica.
Suivant une boucle destinée aux piétons, rue Victor Hugo, autour de la rue Jean Jaurès, le début du Trech, autour de la cathédrale, retour par les quais, rue de la Barrière, Jean-Jaurès, Victor Hugo, autour de la gare, le marché….
En voici quelques uns photographiés les jours suivants en passant…
Est-ce qu’ils seront vus par le piéton lambda, par hasard en voulant traverser, en passant tout à côté…?
Mais ils sont suffisamment discrets pour rester afficher longtemps !
& puis aussi, un message de Manée :
& un message de Sylvie :
• Outre le répondeur, la cabane d’écoute sur le marché, nous avons aussi préparé des éphémérides, bloc de papiers à essaimer, avec des extraits de textes (voir atelier du mercredi n°12) et des extraits de textes de chacun.e lors des ateliers d’écriture.
Clara :
Dominique :
Salomé :
Marie-Jo :
Puis mettre en page, imprimer, massicoter, coller les feuilles à la colle vinylique pour faire des petits blocs…
La cisaille est très affutée et la lame sans protection (ou plutôt je suis habituée à la protection du massicot…) et je me coupe allègrement un bout de doigt! Ça complique un peu le travail…!!
& après que ça ait fini de saigner, trouver un système efficace pour que la blessure sèche et que je ne cogne pas… Comme y’a pas ça en pharmacie, adapter le système des colerettes pour chiens au doigt humain! (une photo soft où on voit pas trop l’étendue des dégats!..)
• Samedi :I nstallation sur le marché, à la place habituelle des “élus”, une fois par mois ; on adapte la chose en cabane avec des rideaux couleurs de printemps, avec David, Serge et Philippe de Bram. Marie-Jo nous rejoint à 8h, et Dominique vers 10h, avec leur enthousiasme.
A l’intérieur, toute la matinée, une sono avec des textes dits, au répondeur de Bram fm, ou lors des ateliers d’écriture.
& puis, la distribution de littérature de poche sur le marché, à côté des gars qui tractent pour les retraites…
Heureusement, il fait super beau!
Manée vient aussi nous rejoindre alors qu’on commence à fatiguer…
— C’est pour le printemps des poètes…
— On n’est pas d’ici
& puis…
Il est reparti avec ce petit papier dans la poche de son costard…
• Nous avons aussi déposé des blocs de poésie à emporter dans différents lieux :
– la médiathèque – le bureau de tabac route de Poissac – le bio d’en face – le marchand de fleurs et plantes – le fromager du Trech – les librairies Trarieu et Préférences – au café le Richelieu – et puis chez Mireille, l’épicerie Mondial relay, qui était toute contente à l’idée de donner un petit texte à toute personne venant chercher un colis..!!
• & puis, le répondeur de Bram est relayé à l’antenne de Radio Vassivière dans la midinale de cette semaine !
• & puis aussi, mettre ces petites phrases dans la rue, à hauteur d’œil de piéton…
• et puis, cette émission, ou poésie, langage, religion, politique, guerre et exil sont liées, sur France Q, ça fait du bien aux oreilles.
Marc Weitzmann reçoit le romancier et poète syrien Omar Youssef Souleimane venu en France sur les traces de Paul Eluard :
— “Bien sût, je n’ai pas trouvé paul Eluard en arrivant en France, j’ai trouvé le RER B.
Mais je l’ai retrouvé en apprenant la langue”…..
Mercredi 16 mars, atelier d’écriture n°12, préparation pour le printemps des poètes, sous le signe de l’éphémère :
Nous profitons de la nouvelle construction et aménagement de la bibliothèque de PEC pour y piocher des livres un peu au hasard.
— Avec pour 1ère consigne d’y relever des phrases qui nous “arrêtent”.
Sylvie :
Marie-Jo :
Clara :
Dominique :
& puis, pendant ce temps là, je regardais aussi quelques livres, et c’était l’occasion de découvrir une auteure : Hélène Monette
& Manée, à distance :
etc., et des haikus
Jean-Pierre aussi a participé depuis son train direction Strasbourg :
— 2 Choisissez 2 textes-extraits, et développez en expliquant votre choix, en quoi ces mots vous ont arrêté
Sylvie :
— 3 2 phrases qui résument votre recherche
Sylvie :
Marie-Jo :
Clara :
Dominique :
Retrouver Lise au Louvre un dimanche d’avant printemps ! peut-être à cause de toutes les photos de Jordanie envoyée par Manée
Leur cousin retrouvé au Louvre,
mais hélas, l’environnement n’est pas le même…
et aussi parce que ce sont des salles moins visitées un dimanche au Louvre (et en semaine!), direction département des Antiquités orientales, passage par le département des Antiquités grecques, étrusques et romaines, département des arts de l’Islam, de part et d’autres du musée (on s’y perd entre les 3 ailes et les étages..!)
stèle votive d’Ugarit
gobelets en marbre, 2e moitié IVe millénaire av. J.-C. ; 1e moitié IIIe millénaire av. J.-C. (fin ; debut) (-3200 – -2700), Cyclades
(et si vous m’en voulez de ne pas voir les statuettes, c’est là !)
Je pense à Jeanne avec les maquettes de maisons-à-étages en terre cuite
– (Bronze récent III (XIIIe s) (-1200 – -1150), vallée de l’Euphrate ; achat 1981 pour celle de gauche
– Maquette architecturale en forme de maison à toit plat avec un étage sur la partie arrière ; ornée de trois figurines-plaquettes appliquées sur le mur, représentant des femmes nues les mains le long des cuisses ; découverte 1975 à Emar = Meskéné pour celle de droite, partage après fouille 1980)
Inscription de fondation de Nabuchodonosor II relatant la construction du palais nord de Babylone et résumant les autres constructions ; cylindre de terre cuite
Statue de l’intendant Ebih-Il, dynastique archaïque IIIB (Vers 2400 av. J. – C.) (-2500 – -2340) ; albâtre, coquille, lapis lazuli, bitume ; Mari temple d’Ishtar cour 20, partage après fouilles 1934
Terre cuite, IVe mill av. J.-C. . , Syrie du Nord (Localisation d’après style), achat 1990
(je vous invite à passer du temps au Louvre depuis chez vous quand vous avez un coup de mou, et par exemple, avec la recherche “figure féminine”, vous pouvez passer un super aprem!)
Un magnifique tapis en mosaïque !
Un brûle parfum (Iran, 12eme s ; achat 1958), et une coupe à vin en jade gravé (Iran ou Asie centrale, 15ème s.) (don de Khan Karim en mémoire de sa fille Zahreh, 2011)
un verre soufflé d’iran, Suse, 8ème-10ème s. (fouilles de Suze ; 1824) (qu’il est beau!!)
Un chasse mouche indien du 17-18eme s. (jade, décor sculpté, incrusté de fils d’or, de rubis et d’émeraudes ; plumes de paon ; osier) (legs baronne Salomon de Rothschild, 1922) – pour les mouches stylées….
Le tricheur à l’as de carreau (G. de La Tour, ± 1640, acquis en 1972), capturés au passage
Pour arriver enfin au département caché des Arts d’Afrique, d’Asie, d’Océanie et des Amériques (où y’a quasi personne vu le parcours du combattant pour y aller, sauf quand l’entrée par la porte Denon est ouverte, c’est royal, allez-y!!!)
& là, vous ne pourrez rien voir à distance sur le site du Louvre, ça dépend du musée Branly (merci Chichi), & les pièces sont remarquables et on n’est pas dans le noir, et y’a de l’espace..!!
masque du poisson, ayant appartenu à André Breton…
poteau de maison
à droite, figure de divinité du riz bülul, sculpture ifugao, XVème s., Philippines, nord de l’île de Luçon ; bois, don 1999
sculpture zoulou, cuiller, XIXeme-début XXeme s., Afrique du Sud, bois, legs 1977
& puis, une figure de l’Île de Pâques (pour la voir sous toutes les coutures, ici)
C’était un beau dimanche!!
En rentrant de Caen, 1 jour chez ma mère, l’occasion de réfléchir à et documenter mon sujet d’arrière plan, L’esthétique de la vie quotidienne…
& dans L’atelier noir, de Annie Ernaux, lu dans le train
Puis quelques heures à Paris avant le train pour Marseille, vite passer au sous-sol du BHV, cette caverne d’Ali Baba !
& puis, en quittant le magasin, s’arrête sur ces vases des frères Bourroulec pour Vitra
Un résumé de Joann Sfar le 26 février, vu sur instagram
Le 28 février à l’aube, direction la Normandie, rdv à l’Imec à Caen, avec les élèves de 4ème année du master design-éditions des B.A. de Caen/Cherbourg, pour un “Speed writing, fast publishing #6“, avec Thierry Weyd
• 1ère étape le lundi : voir l’exposition La rage d’écrire, qui vient juste de se terminer mais n’est pas encore démontée. En prenant des notes, évidemment !
La salle d’expo en parfait tombeau sans ouverture et la scéno sous cloche nous rappelle que nous sommes dans un endroit de conservation !
Mais c’est émouvant de voir ces pages miniatures de Genet
Les notes sur papier peint d’Audiberti
je crois que c’est Peter Handke, qui rajoute des pages à ses carnets si besoin…
& puis, visite éclair des archives et de la bibliothèque, pour donner aux étudiants le goût d’y revenir travailler ! Une bibliothèque dans une église, tout un programme…
Georges Hyvernaud nous salue bien, même si je doute que les étudiants le connaissent
Avec Thierry nous réfléchissons à la forme des “objets” édités que la boîte pourrait contenir, en lien avec notre sujet : la prise de note, le carnet de travail, l’élaboration du travail en cours… afin de les proposer aux étudiant.e.s pour cette semaine fast-speed writing-publishing!
• Le lendemain mardi, à l’attaque, on débute par un petit atelier d’écriture, avec pour guide des extraits de La fabrique du pré de Ponge (dans l’édition de Skira avec ses notes et brouillons) et une description d’arbre dans L’homme qui dort de Perec,
1 — à partir des notes prises la veille
et Romane, depuis chez elle, qui nous parle à travers l’ordi d’Anissa
2 — après l’ex 1, 3 questions qui sont les vôtres :
3 — puis une tentative de réponse à l’une de ces questions
4 — suivie de toutes les pistes de travail :
En fin d’après-midi, avant de se quitter et pour que chacun.e puisse réfléchir à l’avancée de son projet, Vincent fait un topo sur l’emploi de la Riso
Thierry nous décrit sa 1ère riso, entre le moule à gaufre et la sérigraphie de poche (extra l’engin!!)
Il est tard quand nous arrivons à Bayeux chez Thierry et Astrid, qui nous attend pour dîner. Chez eux, d’autres formes d’archives avec ces vitrines de collectionneur (où je revois cette petite lampe… décidément, faudrait que j’en refasse…)
• mercredi.
Se réveiller avant que les ouvriers n’attaquent le décapage des murs d’enceinte. La pierre de Caen décapée reste blanche combien de temps ? Vu de dessus, le mur décapé auparavant pourrait être en plastique!
Ce matin, chacun.e expose ses débuts de projets :
Puis avant le déjeuner, nous avons la visite de Agnès Rosenstiehl, l’auteure de Mimi Cracra (entre autre, ce qu’elle nous dit de son travail sur Rimbaud est passionnant) rencontrée ce matin au petit-déjeuner (! c’est pas le genre d’auteure qu’on s’attend à voir à l’Imec, nous lui avions cérémonieusement demandé si elle était chercheuse) et qui a très gentiment acceptée de venir parler de son travail et répondre aux questions des étudiant.e.s, avec une verve et une pêche remarquables. Thierry enregistre l’entretient, qui pourra donner lieu à une édition, à condition que ce soit sous format papier, demande-t’elle.
Dans l’après-midi, Vincent rappelle les conditions d’imposition de notre format dans une feuille A3, pour les livrets à la française (format vertical) ou à l’italienne (format horizontal) :
• jeudi, grande journée, dans l’absolu il faudrait que ce soir tout soit imprimé..
Récap générale, ajustements, on laisse les étudiant.e.s gérer leur temps, bien que le fignolage des projets avant impression traîne un peu…
Le matin, visite de Marie-Thérèse qui vient d’Arromanches (et la Villa La Brugère) et de Pascale Petit, Isabelle et Jean-Claude Mattrat l’après-midi, curieux de cette gageure d’édition.
On avait prévu une nocturne, mais pas jusqu’à 3h45 !!!
• vendredi matin sur le pont, après une nuit fort courte… Aujourd’hui, le café et le thé sont particulièrement bienvenus dans cet accueil royal qu’on nous fait ici.
Il faut qu’on s’occupe du colophon et du bandeau qui entoure la boîte avant que les étudiant.e.s arrivent pour la suite des impressions, avant que Vincent viennent tout chercher à 10h pour massicoter et encoller les livrets (après assemblage..). Ce devrait être fini en début d’aprem si tout va bien…
En attendant que le groupe qui est à l’école pour ce travail revienne, ici on a du boulot : couper à la cisaille de bureau les cartes postales de Fleur, le colophon et bandeau, plier les plans qui iront dans la boîte, commencer à remplir les 100 boîtes…
Attente, précipitation et retard prévu-prévenu ; quand tout le monde revient nous avons juste le temps d’assembler la moitié des boîtes et de faire un bilan express de notre aventure, car je dois partir à 18h tapante, direction la gare…
Avec une boîte dans ma valise et des envies de petits livres express (et de riso), bien contente de cette expérience, un grand merci à tou.te.s !!
avec le livret à la française et sa couverture en macule, contenant plutôt les notes, pistes de travail
le livret à l’italienne, avec sa couverture en kraft, le résultat de cette recherche
& les cartes et cartes…
le livret de Romane, qui a travaillé à distance du groupe, ce qui nous semblait compliqué et injuste au départ, mais l’expérience est enrichissante et le résultat top et vraiment complémentaire
J’espère que ces images vues de loin vous donneront envie de voir de près cette édition, pour cela contacter le département design/édition de l’école d’art de Caen (ou sur fb), ou rencontrer les étudiant.e.s qui participent à de nombreux salons du livre-petite édition !
atelier 11 – mercredi 2 mars 22
Aujourd’hui nous allons travailler à partir de L’homme qui dort, de Georges Perec
1 — Un moment de votre vie où vous vous êtes “arrêté” (même très brièvement) pour y penser.
Suivez le style descriptif de Perec, la “superposition” et l’entassement des phrases et des idées.
Clara :
Didier :
Dominique :
Franck :
Marie-Jo :
Sylviane :
Sylvie :
2 — Des pensées personnelles, des interrogations (sur tous les sujets) qui vous ont traversées ces derniers temps.
Au moins 3, développez en “creusant” le sujet à la manière de Perec
Clara :
Didier :
Dominique :
Franck :
Marie-Jo :
Sylviane :
Sylvie :
3 — Vous avez observé quelque chose, quelqu’un. Développez à la manière de Perec.
Sylviane :
4 — À partir de votre récit et de celui de vos camarades, dressez le “portrait d’une société” par accumulation.
Clara :
Didier :
Dominique :
Franck :
Marie-Jo :
Sylvie :
& puis, alors
Une semaine pour finir ma collection commencée de Pan-cartes. D’abord, arrondir des coins
puis les versos des rectos déjà imprimés. Se tordre les idées pour chercher la bonne formule, qui jaillit au petit dej après que Raphaëlle soit un peu malade !
Puis celui-là sur un beau carton rose ; s’envoyer des fleurs ou sur les roses… En “vrai”, la couleur des soucis fait mal aux yeux!
& puis, faire imprimer avec joie ce dessin en affiche, et le blog pour éviter la rouille…
Il y a … 3 semaines, retour de Corrèze en passant par Sète, avec Raphaëlle, qui s’échappe quelques jours de sa super ferme.
Une amie d’amie nous prête une toute petite maison, avec divers éléments remarquables, dont une marine-lumineuse-en-plans qui m’enchante avant de dormir!
— Sur le port, ces portraits sur ciment décapé, une autre forme de pochoir
— En passant par hasard devant ImageSingulières, le centre de photo documentaire, l’occasion de voir une double très belle expo à propos d’environnement, sujet qui préoccupe particulièrement Raphaëlle :
• Bastard countryside de Robin Friend.
• Oil and Moss de Igor Tereshkov
On ne sort pas de là le cœur léger, mais néanmoins bien contentes d’avoir vu ces boulots
— Puis, direction le MIAM, le musée de l’art modeste, avec une expo “Fictions modestes et réalités augmentées”, avec des travaux de la S grand atelier
• C’est l’occasion pour moi de découvrir les dessins de Jean Leclerc (et de repartir avec son livre édité chez Fremok, entre autres)
• et puis, émotion, retrouver des superbes photos et le travail sonore de Jean-Marie Massou,à propos duquel on verra le film Le plein pays le 22 mars
En plein travail d’enregistrement ou d’écoute
Il y a sa collection de K7, toutes avec des dessins ou collages, mais il n’y a pas son CD Sodorome en vente à la librairie
& puis, il y a 2 pierres gravées exposées. Ça fait bizarre (un peu désagréable) de les voir là, exposées comme pourrait l’être au Louvre des pierres rapportées (pillées ?) d’ailleurs lointains…
• et puis, 2 tapis, dont celui-ci recto-verso (tufté) (va falloir que je ‘y mette un jour, depuis le temps que ça me fascine…!)
& des livres en tissu et broderie, certains molletonnées, de Marie Bodson
et Margaux Duseigneur
et puis, une chasuble qui donne un autre air à la religion,
issue de Ave Luïa, dont voici d’autres spécimen vus sur le net
admirez les mitres
& dans un autre genre, les broderies et costumes de l’Army secrète
— Enfin, un petit tour au carré d’art de Nîmes en rentrant, après l’art modeste qui arrache, l’art contempourien
— Home sweet home dans la tempête, et une conférence spaciale au Mucem (j’ai pris des notes sur le carnet de Raphaëlle, alors je ne m’en rappelle plus!)
• & puis , re-rangement de l’atelier, l’occasion de montrer à Raphaëlle mon manteau en peau de rennes qui perd ses poils… Est-ce la peine de le garder et pour quoi…?
• autre portrait, il me fallait des photos pour différents événements, et celles que j’avais datent un peu trop. Alors j’ai demandé à Christine de me faire des portraits pas trop moches ni crispés, vaste programme, sauvé par la couleur..!!
C’est OK pour cette saison, maintenant, si on me demande des photos pour un truc en été, va falloir refaire une séance sans laine, on ne saurait penser à tout!