de là à A
Aujourd’hui, je suis encore là (et contente d’y être, vous voyez pourquoi, même si je suis bien à Toulouse!)
La vue, chez Marc, n’est pas vraiment la même, d’autant que le propriétaire a fait mettre des survitrages sans nettoyer les vitres auparavant..!)
Au passage, je vous recommande les freesias “sauvages” (les petites fleurs à gauche de la succulente) qui sentent plus que bon (et résistent au sel) (sauf qu’après, on ne peut plus acheter de freesias chez le fleuriste, c’est comme si on achetait un bouquet de fleurs en plastique)
Ici, c’est pas toujours la fête, quand il y a la tempête par exemple, comme le we d’avant, où vous avez entendu parler du quartier aux infos, quand 2 petites filles se sont noyées emportées par une vague, alors qu’il y avait une super tempête avec une très forte houle.
Dimanche dernier, une bouée était à la dérive, et même si la mer était extra plate, on pensait à la tempête et au drame passés.
(Dominique Dureau, d’après Un rude hiver, de Raymond Queneau, 1992 –
la fente ne fait pas partie de l’œuvre, c’est chez moi…)
Claire vient de m’envoyer un mail embêté : dans le rideau de lettres de l’exposition à la médiathèque Cabanis, il manque un A, il est en morceaux, celui de pAsser…
Je ne sais pas si j’ai un A en réserve (dans la réserve de la bibli, justement) alors penser à mettre la super colle de Jean-Pierre Larroche dans ma valise comme solution d’urgence en attendant mieux…
(et des livres pour la lecture de demain, et du “matériel tactile” pour la rencontre avec les mal-voyants, et tous les petits cahiers préparés pour un des ateliers d’écriture, et la boîte des Stratégies obliques de Brian Eno pour l’autre atelier d’écriture, et…, et…, et de l’HE de Gaulthérie quand la valise est trop lourde..!)
Quant à mon billet de train pour demain matin, envoyé depuis Toulouse par Isabelle et la SNCF, je commençais à m’inquiéter de ne pas le recevoir (et devoir baratiner le contrôleur avec le programme de la Cave poésie pour témoin, je l’ai fait une fois, c’est un grand moment épique), mais la factrice vient juste de me l’apporter (elle passe après midi…) Tout colle au dernier moment…
Pour finir joyeusement, quand même, un petit dessin récupéré sur un blog cheminot, qui me fait beaucoup rigoler :