etc et t’essaieras
Un we en ville à l’Encre rouge, pour aménager l’atelier d’imprimerie…
On a déménagé de l’ancien local qui prenait l’eau fin octobre, puis des gros travaux qui s’éternisent jusqu’en février dans le nouveau local plus petit, puis des empêchements pour l’un, un père mort et 19,7 de tension pour l’autre, et trop de boulot pour le 3ème, et moi tout le temps ailleurs… bref, ça n’avance pas vite, on a dit en rigolant que ce sera opérationnel pour le 1er avril, puis le 1er mai, puis maintenant le 1er juin…
Mais comme je suis ici, profitons-en, d’autant qu’aller y travailler en bateau, ça me motive; qu’il pleuve comme samedi, avec la lumière qui joue avec les volumes de la tour CGM, ou qu’il y ait beaucoup de vent comme aujourd’hui, gare aux paquets de mer pour ne pas arriver trempée..!
Et à l’Encre rouge, il y a des outils, même si la perceuse de Laurent pèse 15 kgs et que ses mèches sont fatiguées…
Tout ranger, remonter la claie de séchage qui s’encastre juste dans une ancienne ouverture de porte,
et construire des étagères tout le long du mur, avec une haute table roulante qui s’encastrera dans l’une d’elle, derrière le massicot…
Et hier matin, en préparant dans mon atelier d’ici des bouts de bois à emmener à l’Encre rouge, j’ai réalisé qu’on m’avait piqué aussi mon tabouret à vis ! damned, ce “vol en retard” m’a refait un choc que j’avais précédemment digéré..!
et cette nuit dans mon lit, après un rêve de cambriolage justement (le 1er!!), j’ai « vu » aussi que mon petit étau avait disparu, avec d’autres petits matos que je projetais d’utiliser..! ça m’a rendu furax et j’ai mal dormi!! c’est donc pas encore fini cette connerie!
Heureusement, toute cette contrariété envolée ce matin, avec un mail d’hier soir de Marianne (la ville brûle) : “On est désolés de ton cambriolage, c’est vraiment hallucinant et aberrant ce truc !!!!
Bref, on voudrait contribuer à ton rééquipement” .
Quelle chance que vous m’accompagniez dans ces aventures d’ateliers..!
Il fait beau dans la tempête.