Vive les vacances ! Retrouver Corinne et Bruno au bord du monde après Paris, c’est top!!
En attendant d’écrire un nouveau post avec des éléments en réserve, hier soir avec la pleine lune, j’ai découvert Zao au bord du monde..! & ça vaut le coup, écoutez les paroles !
cette chanson là aussi, un petit refrain à ne pas oublier l’été…
& parce que on ne s’en lasse pas, une version live !
sinon, en baie de St Brieuc à marée basse, la mer se retire tellement loin que ça a parfois un petit air de campagne!!!
En cherchant un livre, j’en ai trouvé un autre, le catalogue d’expo de Fabienne verdierLe chant des étoiles, en ce moment à Colmar.
je dois dire que je n’aime pas particulièrement son travail (dont je reconnais la qualité), et alors que Soulages vient de mourir (pareil, son outre noir me laisse très indifférente), ce serait une sorte d’héritière.
Sauf que avec cette série là, son travail m’intéresse plus, et d’ailleurs, ici!
J’aimerais bien aller faire un tour à Colmar avant le mois de mars ! (d’autant que j’ai raté son expo sur les pas de Cézanne à Aix, j’ai voulu y aller quand c’était fini…)
& aussi, à Nogent-sur-Marne. Là encore, après les magnifiques vitraux de Soulages à Conques ( voir en fin d’article), ça doit être formidable!
(glané sur le net)
& puis aussi, dans un tout autre genre, Dominique Fajeau (après Verdier, c’est un peu trivial..!)
• j’ai aidé Christine a imprimé cette affiche à l’atelier, pour filer la niaque. Elle est en face de mon bureau, il suffit de lever les yeux lors des coups de mou!!
• Une nouvelle affiche, à,partir d’une phrase connue du pasteur Niemöller à Dachau en 42, revue par Berthold Brecht
Hélas, toujours d’actualité, on pourrait allonger interminablement l’énumération…
• Jean-Pierre m’envoie sa planète de moisissure, oubliée au garde manger : hello Fabienne il avait été oublié dans le garde manger (ce demi potiron) et il s’est couvert d’une très étrange végétation pour me faire penser à tes dessins cosmiques, je te l’envoie
• En cherchant à l’artothèque des photos sur lesquelles organiser un atelier d’écriture, je découvre le travail de Jason Karaindros
Le nouvel Avant-poste N°4, le journal culturel du NewSpace, vient de sortir !
Avec ma contribution de cet été (je ne m’en lasse pas !!)
C’était aussi l’occasion minutée entre 2 trains d’aller au musée des Abattoirs à Toulouse pour voir l’exposition Les incertitudes de l’Espace, avec les œuvres de l’Observatoire de l’Espace du CNES qui y sont en dépot.
J’ai particulièrement apprécié le travail d‘Elise Parré, dont sa video avec un montage live de feuilles-collages-reflexions sur la base spatiale d’Hammaguir (là-aussi, autre version), avec en revers de la video toute une installation.
J’ai pris plein de photos:
Vous pouvez vous rendre compte du dispositif, rajout de feuilles à droite, à gauche qui fait avancer le récit, enchainer les idées et la poursuite de la recherche, c’est vraiment très simple et beau
En revers de la vidéo, l’installation :
(sérigraphie sur fines plaques de béton)
En même temps aux abattoirs, il y a une exposition de Niki de Saint Phalle, qui attire les foules, bien plus que l’Espace!! (y’a quasi personne à l’étage!)
L’Espace, sur fond de nanas gonflables..!
& puis une autre expo
La partie documentation est celle qui m’a le plus intéressée!
Je ne sais pas quelle était l’expo précédente, mais Niki, c’est pas le vide absolu!!
Je reprends les éléments du site de La Marelle, pour annoncer la soirée en hommage à Delphine Bretesché (1972-2021…) vendredi 30 septembre à 19h à la librairie-galerie Zoème à Marseille, où je lirai le texte qu’elle a écrit à la maison (que je prête à La Marelle quand je suis absente, pour ses résidences d’auteurs et d’illlustrateurs).
dessin de Delphine d’un mur de ma cuisine, je me dis, y’a trop de bordel..!!
Je ne connaissais pas Delphine mais l’ai rencontrée après qu’elle ait résidé chez moi, alors qu’elle lisait à Marseille des extraits des textes écrits chez ses 5 hébergeurs.
Elle m’a marquée par sa vitalité, son rayonnement, son engagement…
& puis, faut que je m’exerce pour lire ce passage, déjà, que j’écoute Johnny, je ne connais pas cette chanson..!!
Ce we, à Tulle avec Peuple et Culture, et plein de participant.e.s plutôt jeunes à ces 2 journées, l’occasion aussi d’y rencontrer… des marseillais.e.s…!:
Federico avait, comme d’hab, peaufiné une programmation abordant différentes formes et réflexions afférentes sur le montage, suivant des films variés
2 captures d’écran (cette fois, c’est le cas de dire) de textes réfléchissants avant leur projection sur les films et leurs constructions, extraits de L’Anti Œdipe de Deleuze et Guattari, de Barthes, Brecht, Adorno, Serge Daney…
On commence par 2 installations d’Haroun Farocki
Un film de Van Der Keuken (pas celui-ci, mais ensuite on a vu Ici & ailleurs de Godard)
et pour se détendre, Vérification incertaine !
& le très beau Muriel d’Alain Resnais
on peut voir le film entier sur le net, petits veinards :
& puis le lendemain, entre autre :
J’espère que cela vous donnera envie de venir lors d’un prochain séminaire…!
En attendant, pourquoi ne pas (re)lire Les palmiers sauvages de Faulkner, qui mêle le récit de deux nouvelles dont les chapitres successifs alternent. ou Austerlitz de W. G. Sebald, qui hybride l’écriture de la fiction et celle de l’enquête historienne…
(& le démontage-rangement de la salle le dimanche soir n’a pas été un conflit !)
à Tulle, poursuite des dessins de la série des sympathie cosmique,
suite en bleu…
& puis, une petite visite à l’église Saint Pierre à Tulle, pour voir l’exposition autour de la Lunade,
avec une œuvre brodée de Sylvie Christophe
et la suite de l’expo (ou inversement) au Cloître, qui me laisse dubitative, hormis cette discrète intervention…
Puis, je poursuis ma route avec l’exposition de Franck Claudon à la cour des Arts, Des pièces plus anciennes comme cette lettre qui donne froid dans le dos de la mère de Camille Claudel brodée sur torchon
et sa superbe robe d’après minuit , sortie de sa résidence autour du poinct de Tulle, avec des larmes brodées (qui font aimer la dentelle) par les dentellières, incrustées dans les bleus de travail des ouvriers tullistes
& au Point G, d’autres œuvres de Franck,
boucherie subtile et affective