francs-tireurs
Fin octobre dernier, quand j’étais dans le trou, Sylvie et Didier m’ont embarquée en virée à Saint-Salvadour, un petit village non loin de Tulle, pour aller voir le musée Antoine Paucard.
quelques infos glanées sur le net :
En dehors des personnages, c’est surtout sa cosmogonie qui m’a tapé dans l’oeil
et puis dans la forêt proche, on a été à la recherche d’un gisant, bien caché sous les feuilles d’automne et la mousse
ça s’appelle Le franc tireur. (Paucard s’est engagé dans la résistance). Rencontre au pied d’un arbre, assez émouvante.
(Le voilà propre et net, et trouvé sur le net, plus facilement que dans la forêt)
et gravé sur son tombeau “si la matière est une erreur, il a son but le créateur”
En rentrant, j’étais bien contente de cette virée, et appréciais le reflet de ma lampe dans un dessin encadré de ma série des Sympathies célestes
et en cherchant des textes pour notre affaire de tapis volant avec jean-Pierre, tomber sur le grand Céline (un autre genre de franc-tireur, si je puis dire… (je vous entend faire sgloup..!!))
Au fait, le féminin est franc-tireuse. On devrait l’utiliser plus souvent (que quasi jamais!!)