l’art c’est pas pour nous, nouvel épisode
Heureusement qu’on avait prévenu Odile, qui est venu avec 5 personnes du Secours catholique, car sinon, on aurait été bien seuls…
Mohamed est venu aussi, mais il n’a pas trouvé le local, je pensais qu’il avait compris mes explications, qui ne valaient pas un bon plan, d’autant que le ciel était menaçant…
Voici un reportage complet, (manque que les paroles!)
On commence avec un Adami
David évoque l’Italie, la commedia dell’arte,
les participants sont un peu timides au début,
et seule la jeune fille de la famille arménienne-ukrainienne parle un peu français
et sert de traductrice
David sort beaucoup d’œuvres, car on reste très peu de temps sur chacune, faute de vocabulaire
De Klasen, voyager derrière un camion de produits dangereux, devenu paysage, à Cueco et sa fabrique de roses, quand le travail est aussi dans la tête de l’artiste.
Nous passons de l’usine au patron, avec Aubry, son patron codé en musique
Puis un artiste portugais dont j’ai oublié le nom, mais qui suscite de l’intérêt, et surtout dans les détails, tout voir et déchiffrer bien au-delà des attentes de David. Le croissant musulman et la croix de Malte servent de repères entre navigation et camping, un voyage intérieur en caravelle, avec le sigle de l’USSR vite repéré par notre expert!
Aillaud avec un cerval
avant un okapi en gros plan,
qui ressemble à une girafe,
le monsieur nous mime son cou et ses cornes,
c’est facile à comprendre et on rigole ensemble,
puis un ours pour compléter la famille
des chaises en arbre en pot, ou graine de chaises.
& vous, vous auriez envie de faire pousser quoi?
Di rosa, baobab du Ghana, et des fleurs de lotus du Vietnam, avant la piscine de Monory
Puis chacun va choisir dans le meuble artothèque une œuvre qui lui plait !
Buisson ; une image comme un film à la TV, une dame pousse un garçon, petite scène tragique, réelle ou imaginaire. Peut-être ou peut-être pas… Réfléchir pour faire la lumière… (David sort l’autre partie du dyptique)
Comme notre timing est parfait, en voilà la preuve : un super orage éclate dehors avec cet éclair!!
Puis fred. Clavere. Le monsieur qui l’a choisi est content de le présenter et de dire pourquoi il l’a choisi, mais sa jeune traductrice refuse de traduire..!!
(il ne nous reste qu’à imaginer..!)
Nous restons dans les manipulations anatomiques avec ces cœurs et flux de Laurine Estac. (pas bien sûre de son nom ni de l’orthographe, je vais me renseigner…)
Le monsieur amateur-d’art-qui-voit-tout repère immédiatement que ça représente une carte du monde inversée-déformée! D’ailleurs le titre est PNB.
Plus c’est rouge, plus c’est riche. Quand le cœur est trop gros, il explose. Même si ça représente beaucoup de richesse, c’est tout petit perdu dans l’univers…
Gaëlle a choisi un Saura, mélange joyeux de gens. C’est la fête.
David en sort un autre où c’est pas la fête, inspiré de Goya.
Puis une carte de Tulle de Jochen Gerner, qui nous déboussole. (contrairement à la photo, pas de femme-louve en bordure de Tulle…!)
avant de revenir à Laurine Estac (penser à vérifier son nom…) à échelle historique et européenne, vue inversée… avant les élections du we…
Pour finir bien ces 2 heures intenses, une joyeuse “Machine Infidèle”,
qui trompe énormément…, et à propos d’arrosage, prenez vos parapluies..!
Merci David, merci Odile et tous les participant.e.s, c’était un bon moment !!