des lustres
On commence par les définitions du CNRTL (une mine au trésor plus qu’un dictionnaire) :



À Tulle, depuis des lustres je dois finir des lustres !
Un lustre en verre, un lustre vénitien adapté pauvre — quoi que, les boules de noël de Meisenthal, éléments clés de l’affaire, ne coûtent pas rien, mais on peut les acheter au fur et à mesure… (enfin, après le 2ème confinement, on pouvait les acheter en ligne, maintenant, c’est nettement plus compliqué, et le plus simple est de faire une virée à Meisenthal et à St Louis, etc… mais avant faut faire des économies!) (et du coup, c’est une rare chose qui coûte presque 2 fois plus cher d’occase que directement là-bas!!)
Un 1er lustre, de l’année dernière :

Regardez les vidéos, qui expliquent la naissance chaque année de chaque boule, c’est passionnant.
Celle-ci est une des mes préférées, je trouve l’idée formidable!!
(mais j’ai pas pu en acheter, faut faire avec ce qu’il y a, et récemment, les offres et mon porte-monnaie étaient limités..!)
Mais presque tant mieux, ça oblige à compléter et à alléger le dispositif (dans tous les sens du terme, car si on accroche les boules en verre de Meisenthal sur un sapin, il a intérêt à être bien arrimé, et avec des branches qui ne sont pas des brindilles!!)
Voici donc le 2nd nouveau plus petit et plus léger (seulement 3 boules de Meisenthal, les temps sont durs, mais j’avais un stock de boules-pas boules soufflées pour mes essais de flotteurs..!) :

C’est presque chose faite, il manque encore quelques éléments marins (je voudrais des petites vagues, enfin, on verra…), mais pour cela j’ai besoin de mon chalumeau, la suite pour bientôt !
& d’ailleurs, puisque on est le 1er avril, un magnifique bouquet
(sorry, je ne me rappelle plus de qui est le dessin)





















En rentrant d’Antibes le 16, j’ai fait une halte sur ma route (sur mes rails) à Toulon, je voulais voir l’expo de Ronan Bouroullec à l’Hôtel des arts, après y avoir été tellement « happée » par l’expo de Pierre Charpin l’année dernière.

































































Alexandre, le directeur de la médiathèque, avant le vernissage, que je remercie pour sa confiance, son enthousiasme et son engagement.




































J’en ai référé immédiatement à mes collègues de l’ex laboratoire d’écriture de l’Espace :














J’ai lu ce drôle de livre dans le train l’autre jour, et il est suffisamment exceptionnel pour le partager :

j’ai répondu par la création d’une nouvelle entreprise (depuis le temps que je veux faire des tapis !), chez Manée, on va avoir besoin de place !

