atelier d’écriture n°8 du mercredi 19 janvier 22 Aujourd’hui, nous allons parler d’animaux..!
& puis, cette semaine, il y a eu aussi des ateliers d’écriture à Nougein et au Chanstang, l’occasion de faire travailler également sur ces textes, et de réunir les lectures/enregistrements !
— Avec les Histoires naturellesde Jules Renard. Quelques extraits :
Nous avons choisi d’autres animaux (ce qui ne vous empêche pas de lire ce que Jules Renard écrit sur l’âne ou la fourmi…!) :
L’âne :
Le dromadaire :
La fourmi :
(l’occasion pour moi de montrer la belle girafe de Buffon!)
L’hermine :
& quelques devinettes :
— Puis nous avons lu quelques fables de La Fontaine, pas les plus connues :
Avec un des animaux que vous avez décrit, faites une fable :
Pierre — Le cochon et l’hermine :
Salomé — Le dromadaire et l’eau :
Sylviane : Le périmètre de l’âne :
Clara — Le tigre et l’éléphant :
Sylvie —La girafe et le tigre :
— Puis, avec le héron du bord de la Corrèze, faites une autre fable :
atelier d’écriture n°7 du mercredi 5 janvier 22 Aujourd’hui, youpi, on se retrouve plus nombreux pour l’atelier d’écriture.
Avec Hélène Bessette et son Ida :
& quelques extraits :
1 — Écrivez-décrivez un personnage-personne (mélange de gens que vous connaissez, personnages de livres? etc..) en vous inspirant de Hélène Bessette (et son style d’écriture)
J’ai pris une photo du cahier de Sylviane, qui a eu besoin de dessiner pour écrire
Puis, distribution à chacun.e d’un magazine flamand en stock sur les étagères (pour les découpages en art plastiques), avec l’avantage de pouvoir s’inspirer des photos sans comprendre le texte !
2 — Utilisez les photos du magazine pour rajouter des éléments descriptifs pour une suite à votre texte.
3 — Votre personnage rencontre un autre personnage évoqué lors des lectures par un.e collègue, pour une suite du texte (faites toujours attention au style)
Puis des extraits de Mère éléphante de Fabienne Swiatly :
vous pouvez aller voir son site-blog là
& celui des Éditions des Lisières là
4 — En reprenant des éléments de votre texte, faites 2 “faux” haikus, en vous inspirant de F. S.
A la suite de toutes les lectures après chaque exercice, nous avons décidé collectivement qu’il serait plus intéressant de reprendre les textes en entier.
Profiter de 15 jours d’entre 2 (et s’en foutre des fêtes obligatoires) pour être à l’atelier L’Encre Rouge et imprimer des Pan-Cartes, c’est nouveau !
En compagnie d’un magnifique corbeau de papier de Christine Carte.
& à l’atelier, des gens passent, et parfois de belles rencontres, avec suite :
Alors, ça sert de bosser !
Elles ne sont pas toutes finies d’imprimer au verso, mais cette nouvelle série me plait bien !
Ne pas oublier pour autant le chalumeau, besoin de belles couleurs portatives fragiles et solides à la fois…
Puis penser aux vœux, 22, ce sera l’année du tigre ; un tigre dans le moteur, c’était un beau slogan…
Ce serait bien d’attaquer zen…
mais c’est pas certain, un coup de massicot mal calé ou une panne d’électricité le 31 décembre est vite arrivé..!
Aujourd’hui, nous sommes à l’artothèque, atelier d’écriture à partir des œuvres exposées.
Maladie, crève, flemme de sortir le soir quand il fait froid, autre chose à faire malgré l’engagement à l’atelier,
seule 2 val(h)eureuses assurent ;
les mêmes que la semaine dernière,
merci les filles de votre présence!!
On s’installe une petite table au milieu, et en route!
1— Décrivez une œuvre de votre choix comme si vous la décriviez à une personne qui ne voit rien (dans tous les sens du terme)
Sylvie :
(Camping, de Klaus Staek)
Marie-Jo :
2 — Racontez une histoire à l’aide de plusieurs œuvres
(Joël Hubaut -Gros mot long — œuvre non empruntable (pourquoi ?))
Beaucoup de retard sur le blog, mais en ce moment mon emploi du temps explose!
• Une formation au logiciel de montage son Reaper, à Radio Vassivières, super!
qui sera bien utile pour les futurs projets
• et sur la route qui tourne, visite au musée Rebeyrolles à Eymoutiers
Je ne connaissais pas ses grands paysages
• à l’atelier à Marseille,
où je suis peu
réparer la presse avec Laurent
(avant, comprendre le problème…),
faire imprimer notre calendrier 22,
composer et imprimer nos 9 “oracles” avec Christine pour le projet Fakikir Avenir,
(les belles photos sont de Laurent Carte)
faire une ouverture d’atelier avant Noël où on ne voit quasi personne…
avoir quand même le temps de me faire de nouveaux badges pour égayer le regard et la cervelle
• poursuivre mon chantier, voilà, mon atelier de Tulle est quasi opérationnel
et j’ai découvert un système pour assembler un meuble (une table basse-bibliothèque tournante) sans compétences particulières,
Jean-Pierre proteste
• lors d’un échange de travail, découvrir un éditeur qui est une mine, les éditions du commun
• Un petit tour à Toulouse, pour une rencontre franco-chilienne de poésie avec la Cave-Poésie (plaisir de les retrouver!!)
Cette fois, on ne va pas à Santiago, c’est un zoom, et en attendant la connexion et les réglages de l’enregistrement, Modesta Suarez me parle de poésie chilienne que je ne connais pas, hormis Nicanor Parra, encore quelque chose à découvrir…
L’occasion de re-voir Souad Labbize, Jean d’Amérique et Perrine le Querrec et d’assister à leurs échanges avec des poètes-traducteurs chiliens. (j’espère qu’on les rencontrera un jour, à l’inverse, de traduire leurs txetes!)
Ici Perrine, qui lit des textes de son blog, que je vous recommande
& puis, j’espère rencontrer Juan Pablo Fante, qui a organisé l’affaire et vient en France bientôt, et va aller à Tulle filmer Laurent Albarracin (!!)
Un extrait de la convention avec l’institut français du Chili, articles exotiques…
• juste le temps d’un petit tour à la librairie Terra Nova et son rayon poésie qui dilate le cœur (et fait soupirer en pensant à bien d’autres librairies…)
C’est Delphine Ferro qui a dessiné leur totebag, bleu marine et bien épais solide pour porter plein de livres!
et aux Abattoirs, voir vite fait les tapisseries de La dame à la licorne qui s’est déplacée…
& une belle adaptation contemporaine
& puis, toujours aux Abattoirs, l’expo sur François Tosquelles, qui a un titre formidable (et un catalogue sur papier bouffant qui ne pèse pas une tonne)
Des trésors à voir dans toutes les salles !
& une photo du camp de Septfonds, où la croix rouge devient suprématiste….
atelier d’écriture n°5 du mercredi 1er décembre
Aujourd’hui, en compagnie de
qui écrit depuis l’hôpital psychiatrique Gugging à Vienne.
Seulement 2 valeureuses participantes, Sylvie et Marie-Jo, & chacune s’assoit dans la salle du côté de sa couleur..!
Avec peu de participant.e.s, on travaille plus!!
Dans les enregistrements,
Wina, qui vient du Congo, les rejoint,
l’atelier que j’ai fait le vendredi à Uzerche était presque pareil
Atelier d’écriture dans la salle de la mairie, avec tous les présidents de la république accrochés au mur, en ringuette, par ordre de succession, de De Gaulle à Macron (Sarko est dans le renfoncement)
Avec l’aide de Pierre Tilman et son C’est l’histoire d’un type…
(L’occasion de (re)voir des affiches de Le cas échéant…)
Ou dans une médiathèque ailleurs, une semaine comme une autre est une autre semaine… avec les Leçons de chose d’Hervé Brunaux et parfois la difficulté à écrire ou à lire
avec le beau corbeau en papier découpé de Christine Carte, pour clore ce post
Avec le dispositif campagnonnage de la région Nouvelle-Aquitaine :
A une trentaine de km de Tulle en passant par campagnes et forêts par des petites routes, feuilles rousses la 1ère fois, forêt enneigée 15 jours plus tard, on passe directement d’un bel automne à l’hiver précoce. Seule dans la forêt éclairée par les phares le soir en rentrant, ou dans l’après-midi en y allant, je pense à l’atelier d’écriture, aux mots qui résonnent avec le paysage…
Justement, après Chez nous (d’après Géraldine Kosiak), c’est la lumière de Nicolas Cendo qui nous guide…
15 jours après, avec la neige, Les Djinns de Victor Hugo, augmentation et diminution
atelier d’écriture n°4 du mercredi 17 novembre Aujourd’hui, nous allons travailler à partir de Stèles de Victor Segalen
« La forme Stèle m’a paru susceptible de devenir un genre littéraire nouveau, dont j’ai tenté de fixer quelques exemples. Je veux dire une pièce courte, cernée d’une sorte de cadre rectangulaire dans la pensée, et se présentant de front au lecteur. »
Le projet du livre n’était pas évident : Briques et Tuiles présente d’abord une série de « réflexions personnelles qui sont devenus des stèles ». Le passage de ces notes à Stèles s’opère par gommage de tout « exotisme » au sens touristique du terme, effacement du voyageur au profit de l’objet lui-même, abolition du regard pour le seul regardé.
Art lapidaire, densité et concision
La stèle circonscrit un espace et fixe un moment du temps dans son rectangle.
Structure interne qui varie peu : proche de l’épigramme et du sonnet, presque toutes les stèles se terminent par un trait expressif : produire un effet de surprise ; ou couronner une gradation amenée.
Composition souvent en 2 parties:
1ère partie pour exposer une anecdote, un fait…
2nde suggère le sens allégorique de ce qui vient d’être dit (le lecteur effectue le décryptage.) L’allégorie, chez Segalen, c’est dire autre chose faute de pouvoir exprimer directement l’essentiel, qui est indicible.
Selon 3 aspects :
– opposer deux attitudes, opinions, idées… tout en conservant la diversité
– après avoir utilisé la feinte et la ruse dans la première partie, il dévoile soudainement et laconiquement, voire ironiquement ses sentiments profonds
– élimination radicale du premier volet, usage de l’allégorie
Précédés d’une préface, les poèmes sont répartis en six ensembles :
Stèles face au Midi : stèles portant les décrets, l’hommage du Souverain à un Sage, l’éloge d’une doctrine, un hymne de règne, une confession de l’Empereur à son peuple…
Stèles face au Nord : stèles amicales
Stèles orientées : stèles amoureuses
Stèles occidentées : stèles héroïques et guerrières
Stèles du bord du chemin : stèles sans thème prédéfini, qui « suivront le geste indifférent de la route »
Stèles du milieu : stèles portant « les décrets d’un autre empire, et singulier »
1 — faites vos stèles érigées à différents endroits de la ville
Sylvie :
L’ARC-EN-CIEL
Comme une pluie après l’orage, le prisme des couleurs s’étale. Voici donc le roi Coniculus qui s’avance, en majesté, il marche sur l’arc, il est vêtu de son manteau à sequins.
Les collines le portent et son regard embrasse le paysage jusqu’à l’horizon.
*
Rendons grâce à ses beautés singulières et à ses merveilles.
Les ténèbres s’ouvrent à son passage.
Le ciel mauve scintille en mille gouttelettes et je m’émerveille.
LE PARC
Grave plaine verdoyante, elle porte des fruits, espèces selon leurs noms.
Les odeurs sures et puissantes font frissonner mes narines, les plaqueminiers débordent en grappes et font ployer les plus hautes branches.
– Les vieux palmiers ont été brûlés la nuit dernière, j’enrage.
*
Pour ces infâmes et lâches mioches qui traversent tes douves, décidément ils troublent notre sommeil. Que ce dieu qui a déclenché la foudre regarde ses pieds. Disons que ces arbres ne sont pas morts.
LE GRAND ÉPICÉA
Les étourneaux tournois dans le ciel gris et l’obscurcissent. Des ténèbres rondes et mouvantes planent au-dessus de nos têtes. Silence. Les branches se courbent chargées de têtes d’épingles. Rien ne bouge. L’énigme de leurs tournoiements et de leurs arabesques nous obsède.
*
Le sens caché ? La danse noir des oiseaux ? Que devinons-nous dans l’obscurité de notre monde-terre ?
Il garde ses fragiles et modestes secrets : son tronc est énorme et son écorce épaisse. Nous venons en pèlerinage et tournons autour de l’épicéa. Oh Maître du jardin quadrillé.
LES TAPIS DE CYCLAMEN
Encore et toujours les cyclamens ! Ils reviennent par période dans le parc souverain. Deux lions gardent l’escalier, leurs babines se soulèvent. Rémy et Colette abusent, c’est la fin du livre vert, le plus beau moment de l’année. Ils se sont retrouvés pour hanté ces lieux. Je me penche vers leurs petites têtes violacées, elles se courbent doucement vers la terre.
*
Je viens d’un monde imparfait. Je rêve de paradis, il n’est pas de ce monde. L’autre nuit, je me souviens à peine… décidément ça ne me revient pas. L’année dernière les tapis m’étaient apparus plus grands à l’ombre des grands épicéas.
LES TRIPODES
Grandes barres en osselets gigantesques, ils font bel effet vu du ciel. L’architecte les a pensé et tracé dans une belle harmonie. La dalle et ses coursives.
Franck :
Clara :
Marie-Jo :
Pierre :
Sylviane :
2 – Vous voyez une des stèles décrites à l’exercice précédent
Clara :
Franck :
Marie-Jo :
Pierre :
Sylviane :
Sylvie :
STÈLE DE LA MINIATURE AU-DESSUS DE LA TOUR EIFFEL
Je passe par là et je la cherche. Je l’aperçois à peine : j’avais entendu dire qu’elle était visible dès que le brouillard se dissipait. Il me revient instantanément l’histoire du chien assis sans maître au pied de la Tour Eiffel. J’essaie de me raisonner et de balayer cette idée saugrenue.
En effet sa forme est à peine perceptible mais je la devine tout de même : c’est une chaise ! Quelles forces méchantes ont pu installéer un tel symbole sur la Tour du champ de Mars ? Arrêt des combats ? Arbitre de luttes absurdes ? Histoire d’un philosophe contrarié ? Une créature céleste peut-elle s’y asseoir commodément ? Où serait-ce le piédestal d’une femme ravissante ?
Hélas ! Les brises épaisses la laissent souvent vide.
A Argentat, visite de l’expo Camelote et déchets les effets du déplacement systématique(assemblages et collages, 1995-2020 – collection Faclim) à la médiathèque.
J’avais oublié mon téléphone pour faire des photos..! Juste récupérées celles-ci (où on voit bien la moquette du lieu et l’effet de l’éclairage avec les vitres vertes ou roses par endroit, idéal pour un lieu d’expo…)
L’occasion de découvrir le boulot de quelques artistes, dont Anita Molinero avec un boulot ancien.
Grande discussion avec P. qui ne voyait pas l’intérêt de la chose…
Un texte issu d’une expo récente, mais qui convient bien à cette pièce !
Allezlàlire ce qu’elle écrit, c’est passionnant.
& le Musée d’Art Moderne de la ville de Paris présentera Hérrissé et cramé, une exposition de ses travaux, du 25 mars au 24 juillet 2022
Au château de Versailles, ça en jette!!
& Thierry Costesèque, avec des dessins-collages et une peinture.
Là encore, pour en savoir plus, c’est là
Pendant ce temps-là, les travaux de l’atelier avancent à pas de limace, mais bientôt installé…
& le boulot avec des ateliers d’écriture “à la campagne” avec le dispositif Compagnonnage de l’ALCA Nouvelle-Aquitaine :
1er exercice pour faire connaissance lors du 1er atelier au Chastang, avec ce livre que je trouve formidable, Chez nous de Géraldine Kosiak.
Avec aussi Une odeur de géraniumde Dominique Dureau, il faut que je lui dise que je me sers de son livre..!
A Uzerche, avec la P’tite fabrique solidaire, l’association d’insertion Prox et la médiathèque, je n’ai pas enregistré le même exercice de début, mais parmi la dizaine de participant.e.s, 2 jeunes hommes n’ont pas voulu lire leurs textes ou pas en totalité, se sentant trop en décalage…
Ils me les ont confiés après l’atelier, défroissant la boulette que c’était devenu pour l’un…
& puis, nous avons aussi travaillé à partir de C’est l’histoire d’un type de Pierre Tilman
Va falloir arriver à ce qu’ils entendent que ce qu’ils écrivent est aussi bien que les autres participant.e.s avec une vie plus “normale”, et qu’ils écrivent bien, qu’ils peuvent en être fier..!
J’ai découvert aussi lors d’une réunion préparatoire que l’association Prox fait des meubles avec du bois de palette et de récup, avec les gens qui ne peuvent plus physiquement travailler sur les chantiers :
(on peut aussi leur commander un modèle personnel)
Un meuble TV ?
& puis, aussi, il m’a fallu reprendre le texte de cet été pour l’Observatoire de l’espace…
L’occasion de re-découvrir des éléments (c’est infini!) et des images formidables :
Une méduse comme une soucoupe volante ou un drôle de satellite
Ce qui me fait penser que j’ai un texte capturé de côté depuis longtemps :
& quant aux câbles sous-marin qui doublent les satellites
Une fresque soviétique
Le fameux lever de Terre d’Apollo revu par Lunar Orbiter LRO
A quoi serve les satellites, parfois… sans compter le militaire…
Ça nous emmène loin de la poésie….
& puis, des livres dont on parle bien, si vous ne savez pas quoi lire, ou qui vous donneront envie de les commander :
& pour finir hier soir, avec un coucher de soleil automnal
Voici des extraits de Encore mort déjà vivant
de Arnaud Viviant et Gérard Marty,
ed. Verticales
Faites 4 X court récit de vie et pensées avec un dessin un peu décalé qui l’accompagne
Marie-Jo :
Dominique :
Clara :
2 — Extraits de Extrait de la liste interminable des lieux, places, espaces et divers endroits rencontrés dans ma vie de Frédérique Soumagne, Dernier Télégramme
Ecrivez un enchainement de descriptions de lieux et actions comme un script cinématographique de souvenirs personnels.
Pensez aux éléments nécessaires sans fioritures, construction des phrases, enchainements, temps suspendu entre 2 séquences.
Profiter d’un séjour chez Violaine à côté de Villefranche-de-Rouergue, pour aller faire un tour à Rodez, au magnifique musée Fenaille (qui vaut un grand détour!)
“Fondé en 1837 grâce au mécénat de l’industriel Maurice Fenaille, le musée d’archéologie et d’histoire du Rouergue est abrité dans le bel hôtel de Jouéry (14e-18e siècle). Il expose également de belles collections de l’époque Gallo-romaine à la Renaissance, + des expos temporaires.
Voir les statues-menhirs
Dont la “Dame de Saint-Sernin” découverte par :
& découvrir en 2005 une de ces merveilles en labourant son champ, l’histoire et le temps qui ressort de terre…
extrait d’un site sur l’Aveyron :
Voir une tête de Gaulois avec ses moustaches, ou une tête plus impressionnante encore
Madame Fenaille a été sculptée tête et buste par Rodin. Ici, je ne sais plus qui l’a perchée en haut de la colonne !
Impression de Soulages :
IDOLES, L’art des Cyclades et de l’Anatolie à l’Âge de bronze, c’est l’expo temporaire.
(Passez les 7 1ères min de blabla)
& puis ensuite, direction Le Fel pour aller au Don du Fel voir une expo de céramique
Dont les vases-sculptures qui m’enchantent (c’est con d’être trop pauvre pour pouvoir vivre avec l’un d’eux !) de Philippe Godderidge
(les vraies couleurs sont pimpantes!)
C’était juste impec de voir ça après le musée Fenaille…
un vase-sculpture de Johannes Nagel
& il se trouve grâce à Violaine qu’on a fait un tour dans les réserves… (sauf que je ne me rappelle plus de qui est cette pièce)
Retour par Conques en fin d’aprem, et l’abbatiale Sainte-Foy avec les vitraux de Soulages
“Un joyau de l’art roman (exceptionnel tympan du Jugement dernier), lieu des premières émotions artistiques de Soulages pour lequel il créa 104 vitraux en verre translucide en 1986.”
Pas la même émotion que lors de ma 1ère visite, mais quand même..!
Le covid est passé par le bénitier…
et ce système super ingénieux de pierre trouée qui avance pour fixer une balustrade à un mur du village
Chez Violaine à la Salvetat-Peyrales, on vit aussi avec de la belle céramique.
Ici des super tasses de ? Marina Le Gall ou Marianne Abergel ?
Vu dans une revue
les architectures de Daphné Corregan
& puis, vu sur Instagram, divers petites choses qui m’ont plu, de la peinture sur porcelaine numérique à la broderie qui m’a fait rire
à la peinture étonnante au berceau spatial…
Puis on s’éloigne de l’Aveyron direction l’espace originel, avec Lucy !