en train ou entrain
Avant de partir et après le ménage, une photo d’un carton chez Marc (avec des caractères bois ou un cliché polymère?), il faut que je lui demande d’où ça sort et qui a imprimé ça..!
Et de nouveau, une traversée du souterrain plein de surprises
Retour vendredi fin mars dans un vieux train bondé aux vitres sales et sans prises électriques.
Avant que le train n’arrive à quai, comme je demandais à la chef de quai à proximité si elle savait si c’était un train moderne ou non (& c’est le même prix, hein, avec obligation de réservation, confort ou inconfort…), elle me considérait avec stupéfaction, comme si la question était incongrue, avant de souffler énergiquement dans son sifflet… (je regrettais qu’Arthur ne soit pas là pour l’enregistrer!!)
Dans le train, de la lecture sur la LSF, pour préparer un projet avec la Cave poésie.
J’y ai lu une phrase qui serait bien en affiche :
le handicap est le versant social de la déficience.
Le livre se termine avec un fort texte d’une psychotérapeute, mère d’un enfant sourd, et en colère contre l’acharnement de la science avec les implants :
Et, voilà pourquoi je rentrais tôt : soirée spéciale au théatre Joliette-Minoterie à Marseille, où ils m’ont tous demandé ce que je faisais à Toulouse?! et si j’écrivais de nouvelles choses?
à suivre, j’ai répondu !
Lucile Oza et Marc Menahem, agrémenté cette semaine d’une béquille, ont toujours cette belle énergie..!