des petites mains qui disent ce qui est important
résidence cave poésie 2016-17-18 |
Programme de la journée d’hier :
mairie, rencontre de scrabble, école de musique,cours de dessin,
des mains de tous âges et tailles, disponibles pour jouer avec nous quelques instants…
Et j’ai beaucoup apprécié le nivellement général, sur le bâtiment municipal lombezien à côté de la cathédrale, c’est la 1ère fois que je voyais l’un de ces repères altimétriques qui sont disséminés sur le territoire français :
Et puis, le rugby des petits à Samatan, avec les mains des entraineurs et des parents (et des frères ou sœurs qui attendent), pendant que les enfants s’entrainent ; c’est une affaire sérieuse :
Et à Lombez, le soir, l’entrainement des filles :
Et finir la journée dans une belle ferme à la campagne vallonnée, avec un oisillon-pie suspendu à la poutre dans son nid-maison, qui montre
sa tête et ouvre le bec pour manger (une bouillie de viande hachée et fruits mélangés) quand on lui parle.
Aujourd’hui aussi était plein de surprise.
Retrouvé une photo d’un collage de P.P. (Patrick Pinon) réalisé avec des jeunes du quartier, dans une petite rue à côté du théâtre le Local, à Paris. C’est bien pour commencer la journée !
Et puis, contre le mal de dos, le nouveau livre d’Hélène Bessette, 20 minutes de silence, qui vient de sortir au Nouvel Attila.
Lu sur la route (en bateau et en train), entre Marseille et Lombez, de la Pointe Rouge, en passant par la Pointe Courte, à Sète, avec le ciel de moins en moins bleu, jusqu’à ce qu’il nous tombe sur la tête arrivé à Toulouse.
Hier, des lignes dans les mains et sous la pluie (qui se faisait attendre), à la Poste,
au salon de soins et esthétiques, en face de la Maison des écritures,
et avec les participants du Rdv de Sophrologie.
Ce qu’on appelle une journée positive !
Les photos du we envoyées par les ami(e)s, de la Bretagne avec la fameuse librairie de bord de mer Le Caplan,
en passant par Lombez en revenant des pyrénées…
Et allez, une image d’archive, après ce we pour moi plus à l’est !
A Paris ou à la Cave poésie, l’école maternelle est à côté du théâtre..! & ici, le we, on peut même patienter dans le petit jardin sous le cerisier en attendant l’heure H… une fois que tout est prêt
& maintenant, on a tous l’impression d’avoir fait POURQUOI L’HORIZON NE SUIT PAS LA BARRE TORDUE DU BALCON toujours à 4 avec Arthur!
Ça n’était pas facile de jouer ces jours-ci avec le dos coincé, d’ailleurs l’ostéopathe intervenu en urgence m’a dit qu’il fallait me poser, et arrêter de faire trop de choses, stop, repos… pas possible tout de suite, dis-je en regardant mon agenda… (& je suis toujours coincée avec l’assurance, qui expertise le vol de mon atelier le 7 juin!)
Et puis, on pense déjà à rajouter des scènes, dont celle des fourmis, + à faire des dossiers pour pouvoir repousser plus loin cet horizon l’année prochaine…
… à suivre!
Encore quelques photos de Lombez, avec l’atelier QUELQUES LIGNES DANS LA MAIN installé dans la rue.
Quand un pompier écrit dans sa main, juste avant d’être appelé pour une intervention, et qu’une minute plus tard, son fils le regarde passer à toute vitesse dans son camion rouge.
En ville, attestation de crue sur brique cuite :
Puis direction Paris. L’avantage des “longs” voyages, c’est de pouvoir lire dans le train (avec ou sans Elvis!)
Et de retrouver ses ami(e)s parisiens..!!
Puis hier matin, on s’installait au théâtre Le Local, rue de l’Orillon, pour reprendre POURQUOI L’HORIZON NE SUIT PAS LA BARRE TORDUE DU BALCON.
1ère opération, mettre et tendre le rideau :
Puis s’amuser un peu pour les réglages…
Présence de P.P. (nom d’artiste de Patrick Pinon) dans les WC du Local (ça me change de l’affichage de Souvent j’oublie d’être libre!) & notre affiche au bar du coin en regardant tomber le déluge.
Avant de rentrer faire des courses pour la représentation de vendredi, et préparer 2 tartes salées et une tarte au citron meringuée, pour les affamés gourmands!
A ce soir, donc, on va et vous allez vous régaler..!
Un panneau sur une vieille porte de grange, à Lombez.
Et par terre, des pochoirs qui racontent l’ancienne ville :
& un panneau pour les chiens qui savent lire et ont oublié leurs lunettes, pauvre Jean Moulin….
Tout cela aperçu lors d’un tour de la ville, en discutant d’un projet pour l’anniversaire des 10 ans de la Maison des écritures de Lombez (ce sera le même week-end que Chez René, à la Cave poésie !), qui entre autre, accueille des écrivains en résidence, (avec terrasse ensoleillée le matin pour mieux se réveiller).
Les poteaux sous la Halle, support facile d’exposition
et accueil royal :
Dans le bureau, des anciennes belles cartes de géographie récupérées à l’école avant qu’elles ne partent à la poubelle
Nous mettons au point le dispositif pour notre projet : QUELQUES LIGNES DANS LA MAIN
Nous sommes les 1ers cobayes :
Et le soir, un petit tour jusqu’à la chapelle qui surplombe la ville pour voir le monde (et la campagne) d’un peu plus haut
En hommage à la grand-mère de Bruno, qui avait mis en garde les voleurs par ces quelques mots dans son placard, une nouvelle affiche à placarder dans toutes les maisons et ateliers pendant qu’on s’absente…
J’ai pas réussi à choisir, entre celle qui insiste sur le piège ou celle qui insiste sur l’effet produit….!
Sur la porte verte de l’atelier, ça aurait de la gueule..!!
Direction Lombez, et sa Maison des écritures,
& puis Paris, pour POURQUOI L’HORIZON NE SUIT PAS LA BARRE TORDUE DU BALCON. Prévenez vos ami(e)s!
et toujours des photos souvenirs de Domi et Giovanni, avant-pendant-après POURQUOI L’HORIZON NE SUIT PAS LA BARRE TORDUE DU BALCON à la Cave poésie vendredi soir dernier !
Alors que l’expo s’est terminée hier, Domi (avec qui je causais là) et Giovanni m’ont donné les photos qu’ils avaient prises lors du vernissage!
L’occasion d’un petit retour sur un beau moment.
et en musique, avec ici Marc Maffiolo en plein action : vernissage, + Arthur Daygue, fin de soirée, smoke on the water
Aujourd’hui, dès 9H, démontage de l’exposition à la médiathèque Cabanis.
Pendant que les régisseurs démontent les “366” dessins, avec Claire, on s’attaque au rideau de lettres en porcelaine, et les remballons dans leurs cartons à chaussures…
Comment tout réemballer au mieux, dont certaines choses fort délicates à caler dans les caisses carrées en bois (qui servaient de supports aux lampes pendant l’expo!)…
& mettre de côté les livres qui restent à Toulouse, dans le fond patrimonial de la bibliothèque.
Au revoir, les livres uniques, dont le livre en broderie avec Virginie Rochetti
3 jours pour installer l’expo et 5h pour la démonter ; 4 charriots et quelques qui prendront la direction de Marseille mercredi..!
& voilà, c’est fini ! Merci vraiment pour ces 3 mois !
Hier, c’était la dernière de POURQUOI L’HORIZON NE SUIT PAS LA BARRE TORDUE DU BALCON, à la Cave poésie.
Avant la représentation, quelques images en video ou photo (et son) pour le futur teaser
Une dernière lecture tous ensemble, avant l’heure H
La salle était archi comble. A côté-un peu derrière moi, il y avait un petit garçon assis sur un coussin qui découvrait toutes les images en (se) les décrivant, c’était bien!
Des ami(e)s présent(e)s, papote autour du bar ensuite, et puis Yann sort le champagne et un bocal de foie gras de sa réserve perso pour fêter la “fin” de cette résidence 2016-2017 avec actions d’éclats (!). (Je reviens en mai et juin, mais ça ne se passera que dans mon carnet !)
& puis j’ai droit à un cadeau (made in Mourad Maalaoui), qui brillera longtemps, merci tou(te)s!
Après, démontage, emballage, rangement, on est fortiche, 3 valises pour 3 rétroproj. Arthur met plus de temps à démêler ses fils et branchements
Pour finir la soirée, délices libanais rapportés par Mélanie, sur fond de Johnny (? je ne sais jamais où mettre le h, ni combien de n…) au Palais des sports en 76, sur l’ordi de…Yann, of course!
Et c’est fini, on rentre (tard, ou assez tôt) nous coucher, en compagnie de l’allume gaz berlinois offert par Violaine & Andreas, accessoire final du spectacle
& ce matin, réveil 8h30, Virginie et Xavier repartent à Paris-banlieue pour aller voter.
Arthur a déjà chargé son camion et hérite de la bouteille de Martini gagné sur l’autoroute à l’aller par V. & X. pour avoir dépanné un gars!
Chargement de la voiture de Xavier, avec ses phares de frimeur. On se dit qu’on pourrait partir en tournée-colonie de vacances avec la camion d’Arthur pour poursuivre l’aventure ! Retrouvailles dans un mois…
L’occasion de passer au marché acheter le 1er bouquet de pivoines de l’année pour offrir à Violaine, chez qui je vais déjeuner après 15 jours passés à Toulouse sans se voir! Avec un bouquet d’aillet, que j’ai découvert ici aussi.
Il fait super beau, nostalgie du bord de mer en voyant bonnet de bain,lunettes et tong en porcelaine de Violaine.
Et un bel essai de peintures en passant devant une maison en rénovation (ce serait bien, une maison multicolore…!)
Entre l’écriture de la première ligne de l’article et la publication sur le blog, on est déjà passé à demain pour aujourd’hui, après une soirée électorale en bonne compagnie…(heureusement pour le moral!)
& Demain-tout à l’heure, démontage de l’expo !