atelier et bonnes rencontres

Date : 24 octobre 2017

20171021_143932Atelier d’écriture ce we à la Cave. J’avais préparé des carnets pour chacune (y’avait pas d’homme) dans lesquels écrire, pour nous y aider et guider, par les différents papiers et “chapitre”.

Capture d’écran 2017-10-24 à 14.43.10

On n’a pas chômé, ces petits carnets ont aidé à ce qu’on soit très concentrées.20171021_143923Il était déjà plus de 17h sans qu’on s’en aperçoive, samedi et dimanche soir!

• & samedi après l’atelier, rencontre de Lucie Lataste, qui a fondé la compagnie Danse des signes.

Capture d’écran 2017-10-08 à 10.05.35

Chercher ensemble (surtout elle!), qui pourrait travailler avec moi pour mon projet qui démarre par une première présentation en décembre, alors que tout est encore si flou !
A chaque rencontre “sérieuse”, l’interlocuteur me fait un rappel historique.
image8
image7
image3(des photos, des pistes de réflexion, qui proviennent de livres ou revues ouverts au café Plùm…!)

Lucie repère que je m’intéresse du dehors et avec la langue parlée au monde des sourds, et que ce ne sera pas forcément facile de trouver avec qui travailler. Il faudra quelqu’un qui ait de l’humour!

• Auparavant, mercredi j’ai aussi rencontré Mus et Ben, 2 jeunes hommes sourds et (trop) occupés, où il n’est pas facile d’expliquer un projet alors qu’on ne sait pas exactement ce qu’on cherche (et qu’on ne peut pas réfléchir ensemble en parlant) :
20171024_122434_resized20171024_122446_resized20171024_122456_resized20171024_122521_resized
Extraits visuels d’une discussion, qui ne manque pas d’humour

20171024_122507_resized

Toutes ces rencontres m’aident à réfléchir…

• Et puis, la semaine passée, une amie m’a envoyé un mail avec un lien qui parlait d’un spectacle vu à Paris, Les trois sœurs de Tchekhov, en langue des signes russe.
lsf

Comme je l’envoie à Yann, il me réponds illico :
“Oui, ça passe justement au TNT à Toulouse la semaine prochaine… Tu veux aller le voir?”

Les photos donnent envie d’y aller!
Il y a des coïncidences à ne pas rater..!

 

Samedi soir au TNT, donc!
Mais hélas, (pour moi), bien que certains éléments m’intéressent beaucoup, ça a un côté “au théâtre ce soir” qui m’accable.

im lsf

Comme je me dis au 2ème entracte que je vais partir, un amie sourd de Lucie retrouvée là, me dit-me fait comprendre qu’ensuite c’est émouvant, parait-il..!
(facile à comprendre pour les néophytes, ces signes de frissons sur l’avant bras, et les larmes qui coulent).
Donc je reste jusqu’à la fin. (Sans chair de poule ni larmes, juste un peu moins d’accablement..! La salle s’est considérablement vidée, il y a des gens applaudissent frénétiquement, bon…)

Ce moment, vu sur Youtube, m’avait enchanté.
En “vrai”, au milieu de toute cette hystérie, un peu moins!Capture d’écran 2017-10-14 à 10.11.41  Capture d’écran 2017-10-14 à 10.08.24

• Je me suis consolée dimanche midi en allant aux Abattoirs, voir l’expo de broderies d’Hessie.
Là encore, le bonheur d’être seule dans l’exposition face aux œuvres silencieuses:
20171022_12121020171022_12125720171022_12222820171022_120923
Et puis, quelle chance pour les toulousains, d’avoir Fernand Léger en permanence et simplicité à l’extérieur du musée, cadeau!
20171022_115214
20171022_130238
• & après l’atelier, et la mission de ces quelques jours bien remplie, en partant de la Cave Poésie dimanche soir avec les clés, ne pas oublier un des bons usages des consignes de la gare : y laisser des objets destinés à quelqu’un d’autre!
20171022_13505220171022_181322_resized


Du café Plùm

Date : 24 octobre 2017

Jeudi, grande journée au café Plùm. À discuter de temps à autre avec Delphine, de livres, de découvertes littéraires et humaines, de travail, de projets, des rencontres, etc…
Passer la journée dans le “silence animé” d’une librairie conviviale, avec des tables et des coins différents où s’installer, des rayonnages pas trop vastes, pour pouvoir y flâner et glaner textes et images au “hasard” sans se perdre dans la trop grande multitude, comme quand on passe du temps dans/avec la bibliothèque d’un(e) ami(e). Des idées qui viennent, dans cette disponibilité des rencontres, des propositions, entr’ouvrir le bon livre au bon moment…
Le bonheur de travailler (en ayant extérieurement l’air de rien faire, je suppose) dans une librairie choisie, en somme, qui devient aussi library…

image20

 

Et voici LA découverte de la journée, un magnifique livre jeunesse avec une petite fille sourde, ouvert au hasard…

 

 

qui croise certaines idées à exploiter que j’avais, entre la rencontre de martiens et de plongeurs sous-marin, ici bellement exprimée

 

image14 image10
image11 image12
Un livre sans paroles ni sons, rendus graphiquement
image19image17image16
image21

et un superbe jusqu’au colophon.

Qui me fait penser à une phrase que Delphine m’a dite, puisé dans Une autre Aurélia, de Jean-François Billeter :
” On oublie ce don que représente tout travail bien fait.”

 

Le lendemain, je ne pouvais pas venir, “ma” voiture n’étant pas disponible. En retour d’un message, Delphine m’a envoyée cette peinture de Paula Modershon Becker.
Par juxtaposition, je fais des copines de ces 2 petites filles.

image23paula modersohn becker

Et puis, proposition qui tombe du ciel dans la matinée, comme je ne peux pas aller à Lautrec, une amie de Violaine veut aller à Conques et nous embarque. Depuis le temps que je rêvais d’y aller !
“Vue de la place, l’abbatiale paraît enfouie au fond d’une fosse, tandis qu’à l’opposé elle domine de sa masse imposante le cloître lui-même accroché au-dessus du ravin. La surface disponible pour les constructions ne pouvait être que fort limitée. De plus, la présence de la fontaine du Plô et de son réservoir souterrain en dessous de la place, empêchait toute expansion de l’église dans cette direction. La topographie du site de Conques expliquent le plan extrêmement ramassé, l’abside d’assez faible profondeur avec trois chapelles au lieu des cinq habituelles, la nef très courte (20,70 m) par rapport au transept d’une ampleur inusitée (35 m). Et, comme pour compenser la modestie de ses dimensions au sol, l’édifice se développa en hauteur.”

Capture d’écran 2017-10-24 à 09.56.19

 

Bol incroyable, on était seules dans l’abbatiale !

Un grand choc esthétique et spirituel, parce que là, ça marche vraiment ensemble…

 

Les vitraux de Soulages, à Conques, relèvent d’un minimalisme spiritualisé, dans l’esprit de l’art roman le plus dépouillé.

Capture d’écran 2017-10-24 à 09.57.33“La recherche de Soulages va partir, non d’une conception formelle préétablie, mais du matériau lui-même, le verre, dont il explore de nouvelles potentialités, après des centaines d’essais. Il souhaite un verre translucide mais non transparent, Capture d’écran 2017-10-24 à 09.51.26qui ne « troue » pas les murs, préserve la clôture, et évite la distraction du regard. « J’ai voulu, a-t-il expliqué, que la transmission diffuse provienne non d’un état de surface comme avec le verre dépoli, mais de la masse même de la matière. J’ai voulu aussi qu’elle soit variée, Capture d’écran 2017-10-24 à 09.50.02c’est-à-dire produisant des modulations de luminosité sur la paroi de la fenêtre. Une lumière vivante en quelque sorte, prise dans le verre même, celui-ci devenant émetteur de clarté. »”

 

Je n’avais pas d’appareil photo ni mon téléphone, oublié à Albi, mais de toute façon pas envie de regarder autrement qu’avec les yeux…
“Le même élancement se retrouve à l’extérieur, sur la haute façade dont l’austérité de forteresse n‘est égayée que par les rosaces de pierres polychromes. Latéralement, rien ne vient interrompre la verticalité des contreforts qui montent d’un seul jet jusqu’aux toitures. En contournant l’édifice, on découvre soudain le chevet et la somptuosité de son élévation pyramidale. Ici, le triple étagement des volumes, magnifiquement appareillés reflète la structure intérieure de l’église.”

Capture d’écran 2017-10-24 à 09.45.48

 

Voici des images capturées sur internet, mais qui ne rendent pas grand chose de la qualité de la “présence” de cet endroit.

Quand j’ai ouvert la porte du transept, qui donne sur la colline boisée en face,

Capture d’écran 2017-10-24 à 09.48.01en descendant dans le jardin du cloître, qui termine au-dessus du ravin, avec ces pierres et lumière dans le dos et la nature devant, je pensais aussi aux monastères tibétains.

 

Le soir , j’ai ouvert Le zen dans l’art chevaleresque du tir à l’arc, de E. Herrigel, trouvé au Café Plùm.
“Vos flèches manquent de portée, fut la remarque du Maître, parce que spirituellement, vous ne portez pas assez loin.”
5 ans après,
“Le Maître m’interrompit alors et dit : “Voilà justement la corde de l’arc qui vient de vous traverser!”
Conques, un endroit traversé par la corde de l’arc!

 


Simone et après

Date : 8 octobre 2017

• Parce que ces photos (d’Emmanuel Grimault, pour la SNCF) me font plaisir à voir, où on retrouve toute la pétulance de Simone! Et un beau souvenir d’un travail de résidence avec des complices, Arthur Daygue aux manettes et Yann Valade qui se démène à la tête de la Cave Poésie.
Notre lecture du 15 septembre à la gare Matabiau a été enregistrée, mais hélas, le son est trop pourri… Mais Simone est OK pour qu’on trouve un moment pour tout réenregistrer, youpi!
Et cette fois, ça ne se terminera pas en queue de poisson avec la gare évacuée à cause d’un distrait qui a oublié sa valise violette au Point Relay, ce qui a dû lui couter cher au point qu’il s’en souviendra!!

_DSC4787 _DSC4847_DSC4818

• & puis, cette année à la Cave Poésie, une nouvelle résidence, avec une image qui démarre à la gare, justement !
Capture d’écran 2017-10-08 à 09.48.58
• Ce qui n’empêche pas que nous continuions à travailler ensemble (une rupture brutale eût été trop cruelle!)
une première retrouvaille pour un atelier d’écriture, le temps d’un we:
Sans titre

une seconde en décembre, attention les yeux (et quand même les oreilles):
Capture d’écran 2017-10-08 à 10.05.35
une 3ème en mai, pour faire ce qui me plait ! (mais je ne sais pas encore quoi exactement….!!)
Capture d’écran 2017-10-08 à 10.06.20
• Ce travail a commencé à s’élaborer au Café Plùm de Lautrec (dans la campagne² entre Albi et Toulouse), avec sa merveilleuse librairie, où je suis-vais être régulièrement présente pour une résidence en lien avec le CRL, et en souvenir de Terra Nova,
20170920_135829 20170921_113733 20170921_113849
et Delphine, la libraire du Café Plùm, qui a une affiche de la Friche Belle-de-mai derrière son bureau, et qui m’a déjà fait découvrir et lire quelques livres qui comptent pour elle!
20170920_11291320170920_112926où on a un peu l’impression de visiter sa bibliothèque dans le fond de la librairie!

C’est l’occasion de vous montrer une super machine que j’ai photographiée là-bas dans un livre, un “engin lance-tract” de la 2nde guerre mondiale :
20170920_165348
Sinon, il y a d’autres armes dans la campagne, avec le parcours botanique du village :20170920_135759

Et parmi mes 1ères enquêtes au Café Plùm, en posant toute une liste de questions, parmi les sons que les gens auraient vraiment peine à ne pas entendre :
20151227_122322le chant des oiseaux – le souffle – la cafetière italienne le matin – les rires – les bruits/mots pendant l’amour – une casserole qui chante pendant qu’on cuisine – les petits oiseaux le matin quand on est bien réveillé (vs les oiseaux qui nous réveillent quand on est vraiment crevé) – le vent dans les feuilles  – les feuilles dans le vent – marcher sur les feuilles mortes – les petits bruits discrets – un sifflement – la voix de son enfant – entendre les gens parler, choper des discussions, des bons mots – le bruit de l’eau, la fontaine, la rivière – les bruits de la ville la nuit – de la nature – la musique – la parole…

Personne n’a dit le bruit de la mer, preuve pour moi qu’on est vraiment à la campagne !!


tablette

Date : 19 septembre 2017

Entre la Cave Poésie à Toulouse et le café Plum’ à Lautrec où je vais aller régulièrement faire un tour pour mon projet avec la LSF, il y a Albi, où je retrouve mon amie Violaine Ulmer.
Contente de voir ses anémones dans “ma” chambre-bureau,20170919_10113820170919_101056 20170919_101404
avant de retrouver bientôt le bord de mer, sans four céramique..!

& ce matin, Violaine m’a apporté une grande et lourde galette de porcelaine pour le petit-déjeuner…20170919_130354_resized
que j’avais faite chez elle l’année dernière, pour démarrer doucement un nouveau projet avec Christine Patry-Morel
si doucement que j’avais oublié!
Se faire soi-même le courrier-surprise du jour!
20170919_100451


rencontres

Date : 18 septembre 2017

Heureusement qu’il y a de belles rencontres humaines et littéraires, pour quasi tous les salons et événements, comme pour les 10 ans de la maison des écritures à Lombez ce we.
Je suis spécialement contente (merci Maya!!) d’y avoir rencontré Violaine Bérot et Delphine Panique !

Réfléchir ensemble pendant un petit déjeuner au soleil aux problèmes et avantages des résidences d’écritures, de même qu’à la Cave poésie avec Carole Lataste de N’a qu’1 œil, réfléchir à une mutualisation d’un endroit atelier-matériel pour certains projets : des issues à mettre au point pour rester indépendantes & pas crever un jour par manque de budget institutionnel et pauvreté/solitude personnelle…

bon, j’ai pas pris de photos ce samedi à Lombez…
Alors, des retours heureux capturés sur fb :

20170915_190803 (1)

Capture d’écran 2017-09-18 à 13.06.34


Chez René

Date : 18 septembre 2017

Capture d’écran 2017-09-18 à 12.06.06Juste pour le plaisir de partager quelques images, et se souvenir de ce Chez René 2017, qui a débuté avec notre GARAMOT, avec/en compagnie d’Arthur Daygue et Simone Hérault, madame la voix de la SNCF en personne !
De 8h à 11h30, enfin 11h15, parce qu’un distrait avant oublié sa valise violette au Relay de la gare, ce qui a provoqué l’évacuation du hall 1 où nous étions, jusqu’à ce que le jeune homme revienne chercher sa valise… et l’amende qui va avec…
Capture d’écran 2017-09-03 à 11.37.56

Capture d’écran 2017-09-18 à 12.12.12Capture d’écran 2017-09-18 à 12.13.54 Capture d’écran 2017-09-18 à 12.13.21

Et puis Chez René, nous avons repris ce Garamot avec Arthur le dimanche, l’occasion de retrouver et revoir ami(e)s et connaissances, avec grand plaisir, et toujours apprécier les ateliers de sérigraphie pour tous!
20170917_13372820170917_115040
Karine Marco avec sa chemise allumée à pois, qui m’a donné sa revue où elle m’avait demandé une contribution : découverte in situ de EVER/REVE
20170918_12381420170918_123804
Et la belle Gisèle a bien voulu que je la photographie, hélas, la photo est peu floue !
20170917_125933Mais je suis bien contente, elle a accepté que je la questionne un jour pour mon projet sur les vêtements…
20170918_105530La rencontre aussi d’Hélène Cattelain, et de sa sérigraphie sur maillot de bain en papier.

Et puis, mesurer la distance parcourue : il y a un an avec Suzanne Cardinal, pour Chez René 2016, nous avions fait cette vitrine :
Capture d’écran 2017-08-16 à 11.17.28
Pour Chez René 2017, j’arrive avec ma trousse-à-outils !
20170907_16162520170908_095159


nouveaux nés

Date : 9 septembre 2017

à l’édition des petits livres, les livres se font aussi (beaucoup) avec les mains…

après l’impression : massicotage, rainage, perforation, pliage, assemblage, collage, spiralage, numérotage…
20170907_17370720170907_19045420170908_132524

Et alors voilà : ils ne sont pas tous pliés, percés, assemblés, spiralés, collés, numérotés, rangés dans des boîtes à chaussures, …, loin de là, mais déjà un exemplaire pour vous mettre l’eau à la bouche (et moi pour les voir aussi, être super contente du résultat — et super fatiguée !) :

• admirer OUTILS UTILES
20170907_161625 20170907_162012

• guigner LITHO-GRAPHIE DE PLAGE

20170909_11403220170909_113935


affiches outils

Date : 6 septembre 2017

Elles, au moins, sont déjà présentables (les livres pas encore!)
& elles sont toutes!
Capture d’écran 2017-09-02 à 10.58.11


pictogramme

Date : 3 septembre 2017

pour la beauté de la chose..!
Maad Design vient d’acquérir une machine de découpe laser, livrée très bien emballée, avec cette belle consigne sur la caisse

20170829_164520


imprimé en septembre

Date : 3 septembre 2017

20170903_104718 (1)

Les livres se suivent, pas encore terminé pour l’un, qu’il faut vite finir l’autre pour Chez René….

20170903_104649 (1)
(et les feuilles A4 au-dessus, c’est “En voiture Simone“, le texte qui sera dit (en partie) par Simone Hérault à la gare Matabiau le vendredi 15 septembre..!!)
(J’ai déjà pris rdv chez l’ostéopathe pour arriver pas trop déglinguée à Toulouse, parce que 15000 tours de manivelles en un mois, sans parler ceux du cerveau, ça vous rend de guingois, hein… ..!)
20170901_204451
j’imprime le texte au verso en typo, le recto ayant été imprimé en offset grâce (et gracieusement) à Cecil Baboulene
et en 2 fois, à cause de la longueur de la bande de papier, et parce que je n’ai pas assez de plomb pour tout composer..!
20170903_104827 (1)
En tout cas, ne pas oublier ça :
20170903_104726 (1)20170903_104737 (1)


imprimé en août

Date : 2 septembre 2017

20170819_202649Voilà que ça sent la rentrée ; c’est pas l’odeur que je préfère, hein…
En tout cas, août a senti l’encre d’imprimerie !

 

Des nouvelles du grand chantier :
fin d’impression de l’intérieur du livre, massicot, petits tas, assemblage, avec l’aide de Christine Carte, revenue à l’Encre Rouge après de courtes vacances.DSC01597DSC0159620170901_204341
20170827_17285320170827_164533

2 linogravures sont aussi de Christine, le piège à souris, avant de recevoir celui de jean-Pierre par la poste, pas le temps d’attendre, et la (magnifique) burette d’huile (copie de celle dont on se sert à l’atelier!), celle de jean-Pierre n’étant pas bien adaptée au projet..!

Cet été, nous avons racheté un vieux stock de papiers, dont un de mes papiers de couverture préférés, beaucoup utilisé à l’époque d’Harpo & (c’était le même fournisseur), qui doit dater de la fin des années 60, impression Formica.
Ici en orange, pour une couverture rempliée idéale (pour l’instant qui sèche…) :
20170901_20441720170901_204405
Capture d’écran 2017-09-01 à 12.00.36

& puis, pour éviter le vol des outils utiles, un petit cadenas (Winner, svp!), gravé vite fait sur le pouce, s’imposait en 4ème de couv de cette boîte à outils,

pour une belle grimace !
20170901_194428


@