choses vues

Date : 26 janvier 2020

• Dans le train ; et dans le monde de la communication…

• En 2020, les artistes et les auteurs ne dépendent plus de la Maison des Artistes ou de l’Agessa, mais dorénavant de l’Urssaf du Limousin…(!)
Auparavant, dans les appels à cotisations, il y avait notifié la date d’échéance, et puis aussi, la date limite avant que l’appel à cotisation non réglé soit transmis à l’Urssaf…
Dans l’appel à cotisation de l’Urssaf (qui a été décalé du 15 au 31 janvier grâce à la SGDL), il n’y avait pas de notification de date d'”extrême limite” avant pénalité… Aussi ai-je posé la question (par internet dans mon espace dédié, comme on dit), y’a pas de raison..! Réponse par courrier :

• C’était le dernier jour, à Marseille, ce we de l’expo de Jesus Cisneros à Fotokino, pour Lanterna Magica :


C’est bien les expos qui donnent envie de dessiner !!

• & puis, à l’Autoportrait aussi, j’ai été voir l’expo d’Hélène Riff, qui dure jusqu’au 14 février, et dire bonjour à Eve dans son salon de coiffure-galerie :
Grande délicatesse, finesse, simplicité, connivence, humour doux ; du bonheur!!

Le plan du jardin en Algérie, quand elle était enfant, avec joli détail en marge :

Les photos ne rendent pas l’occupation de l’espace, où on est guidé, comme par une main amie :
et puis de la porcelaine

& puis, il y a eu un atelier en décembre avec des enfants et des adultes, l’autoportrait sur assiette, maintenant émaillées :

Je n’avais pas réalisé avant, mais Hélène Riff, je connais son travail comme illustratrice, auteure de magnifique livres jeunesse !

• & puis, une pré-séance de travail par Skype avec Jean-Pierre Larroche, au sujet du son… C’est l’occasion de le voir un peu verdâtre-rouge, parfait après l’expo!
Evidemment, il viendra bientôt à Saint Pardoux quand je ne serais pas à Tulle, damned!

• & puis, re-vu le travail de quelques artistes, en me posant des questions-projets…
Amélie Jackowski,
et son jeu de cartes très beau,
ça m’a donné envie de l’utiliser pour un atelier d’écriture-arts plastiques

A l’atelier, Elisabeth a sorti son jeu pour nous tirer (et surtout admirer) les cartes

ça confirme les projets..!

C’est aussi l’occasion de chercher quelques modèles de cartes

  & des envies de gravure ; s’inspirer de l’exemple de Louise Bourgeois, accroché devant mon bureau à l’atelier :

et puis (sorry pour les images un peu dégueu…)

et puis, en allant chercher une info sur le site de La Marelle, vu ça, de Jean-François Magre :

• Sur un catalogue de vente de fleurs, il y avait cette page avec la photo du Prospect cottage de Derek jarman, sans qu’il soit cité, juste le crédit photo, et des petites étiquettes pour vendre des fleurs résistantes..!!

Justement, il y a un appel en ce moment pour sauver le cottage et ses archives, en l’achetant, lancé par Tilda Swinton dans une école d’art londonienne
Du coup, c’est l’occasion de vous redire de noter dans votre agenda la date du mardi 11 février, avoir la chance d assister à la 2ème rencontre du travail de Bruno Geslin en train de se faire :

• & pour rester dans le bleu et beige, la mer d’aujourd’hui après la pluie d’orage, quand ce n’est pas encore le printemps (ni le moment d’aller nager…)

•  & pour finir, 3,90€, ça ne vous ruinera pas, et c’est à lire :

• et pour ceux qui habite ailleurs, un graffiti tulliste pour se quitter
r
en écho au fameux


fausse disparition

Date : 26 janvier 2020

La semaine dernière :

Je suis venue interroger les personnes venues récupérer les œuvres choisies lundi soir 20 janvier :
pourquoi, comment, et puis l’artothèque ?

Déjà, celle-ci avait “disparu”, avec un petit mot à la place et la photo de la personne qui l’a “emportée” :
et où :

Sylviane décroche le dessin de Cueco qu’elle a choisi et le remplace par son petit texte :


Jean-Louis, du coup, a choisi celle-ci (photo prise lors de l’atelier d’écriture fait à l’artothèque) :

 

La vendeuse de cigale, d’hervé Di Rosa

J’ai pris des photos pour l’artothèque avec l’appareil de David (pendant son atelier d’arts plastiques, il avait du mal à être partout!!), et donc ouvrez vos oreilles plutôt que vos yeux :

 

 


en tandem

Date : 23 janvier 2020

Aujourd’hui, et ça ne pouvait mieux tomber, un (2) bel article dans La Montagne (qui fait se consoler de la perte de l’Echo, avec les articles de Karène et de Serge)



& puis ce soir, ça fait bien regretter d’être loin de Tulle


atelier du mardi n°17 – pour une interprétation

Date : 22 janvier 2020

Ce we, je suis rentrée tard dans la nuit, et des oiseaux se lançaient des trilles d’arbres en arbres, comme un début de printemps…
Alors aujourd’hui, nous partons du poème de John Keats (1795-1821) Ode à un rossignol (avril 1819)



Dont voilà plusieurs traductions, en comparaisons



  Pour une nouvelle interprétation : donnez votre version du poème dans votre langue à vous

 

 

 

 

 

 

 

  Lecture de quelques pages de Elle écoute passer les gens de Anne-James Chaton (ed. Verticales)

En reprenant cette construction, refaites moi le poème avec des IL… (qui se rapportent à un pronom personnel ou impersonnel…)

 

 

 

 

 

 

•  Passez votre cahier à votre voisin.e.  Intercalez des Elles (pas des ailes)

Il… de Raphaëlle, Elle… de Manée

 

 

Il…de Manée, Elle…de Sylviane

 

 

Il…de Sylviane, Elle… de Dominique

 

 

Il…de Dominique, Elle… de David

 

 

Il…de David, Elle… de Agnès

 

 

Il…de Agnès, Elle… de Raphaëlle

 

Merci, c’était du travail sans répit pendant 2h, et formidable, vous êtes balaises! En préparant les fichiers sons dans le train du retour, je rigolais toute seule les oreilles dans mon casque!

Vous pouvez entendre Anne-James Chaton lire un extrait et parler de son livre

 


lectures de fin de semaine

Date : 19 janvier 2020

Vendredi, journée à Bram pour préparer l’émission apéro (19-20 h) de la nuit de la lecture, avec Philippe au montage, qui m’apprend un autre logiciel plus “pro”, et du coup, travail à la maison jusqu’à pas d’heure avant et après!

Manée m’envoie de Limoges une photo de librairie, Dans les choux entre Charcuterie et la revue marseillaise Bébé !

C’est pas comme à Préférences, où il n’y avait pas de Papa part Maman ment Mémé meurt, alors que j’en avais besoin et que je ne l’avais pas, l’ayant prêté et pas revu, pour lire au micro de Bram… (du coup, je l’ai lu sur mon ordi, l’impression n’est pas la même!)

mais le montage gomme les hésitations et bafouillements, même si ça prend du temps!

Samedi 19h, vite un petit message (un poil en retard, pas pensé avant où j’étais occupée avec le nouveau logiciel de son) à tou.te.s pour dire d’écouter la radio!

Discussions comme si j’avais passé ma vie à la radio (merci aux pros qui mettent à l’aise!), lectures de l’atelier d’écriture et des enfants, appel à participation, témoignage de la maîtresse de CM1 sur la “lecture offerte” (quel intitulé formidable!), extra!

& pour celles et ceux qui regrettent de l’avoir raté, voici le podcast sur le site de Bram.
La suite du programme (que cette fois j’ignore) radio-lecture à 21h ;
surprise, ça commence par la trilogie familiale ! J’écoute, ça balance bien, ça donne pas envie de manger en même temps mais bien de rester les oreilles (et la cervelle) affutées !!
Puis d’autres lectures de l’atelier du mardi soir entrecoupées de plages musicales, je regrette que cette fois, les noms de soient pas cités… (et y’a eu un bug, répétition du 1 à la place du 5….)
Lectures prises dans les ateliers    1   –  3  –   5  –  7 –   et un peu dans le 11…
Peut-être est-ce pour vous l’occasion de les découvrir ? Tant mieux!

& puis, dans l’après-midi, pour ne pas rester scotchée derrière l’ordi et les fichiers sont à traiter, refaire la vitrine du Lien/Lieu, avec des extraits de l’atelier sur la lecture de mardi dernier

Construire une lecture, c’est encore plus ce dont il s’agit avec la radio!!


une histoire de vampire

Date : 16 janvier 2020

Toujours pour la nuit de la lecture, aujourd’hui il faut grimper sur la colline jusqu’à l’école Clément Chausson, sous le ciel bleu-bleu, oui, vous n’avez pas la berlue !

ça grimpe dur !!

des petits chemins servent de raccourcis entre les lacets de la route,
comme le chemin des enfants de troupe au dessus du conseil départemantal,
mais plus d’enfants de troupe, heureusement !

 


 

Gaëlle a organisé ma visite, et mon timing est juste parfait, je retrouve madame Lagarde à la porte, et nous partons vers sa classe.

Ils sont 5, dont Charlie, le fils de Gaëlle :

Ils vont nous lire un livre qu’ils ont beaucoup aimé, chacun.e un chapitre (ou 2).

Charlie commence. L’appréhension du départ disparait vite :

 

 

Voici l’illustration qu’il a préférée.

 

Il se présente aussi:

 

 

Chapitre 2 : Elia nous fait la lecture.

 

Voici l’illustration qu’elle a préférée. Pour l’occasion, elle a une plume tatouée en décalcomanie sur le cou, j’apprécie beaucoup cette attention !

 

 

Chapitre 3 : lecture de Clément

 

Voici l’illustration qu’il a préférée

 

 

 

 

 

 

Vous avez maintenant hâte d’entendre le chapitre 4, lu par Lola :

 

 

 

Voici les illustrations qu’elle a préférées

 

Vite, le chapître 5, lu par Maïssane :

 

 

Nous attendons impatiemment le dernier chapitre, lu également par Elia :

 

Quelle histoire! Un vampire d’encre qui suce la moelle des textes, c’est parfait pour la nuit de la lecture!!
Après ce travail et cette concentration de fin de matinée alors que les autres enfants sont en récréation, il est l’heure pour tous d’aller à la cantine, déjeuner d’autre chose que de l’encre des livres!!!

Mais avant de partir, madame Lagarde nous parle de son travail :

 

Après cette nouvelle aventure, je redescends toute légère avec mon ombre…
… avant de passer plusieurs heures à préparer les fichiers sons pour Bram et pour le blog..!!


atelier radio avec Antoine

Date : 16 janvier 2020

Comme nous avons envie de développer les entretiens et témoignages sonores, et avoir un relai sur Bram fm, ce mardi, formation au montage-nettoyage de fichiers avec Antoine, dans les locaux de Bram.
Notre petit groupe, constitué pour traiter tous les enregistrements du bal trad de décembre : Noura, Adama, (qui ont toutes les deux une petite expérience de radio), Gaëlle et Iris (de PEC) & puis moi.

Antoine est un super pédagogue, on regarde, on prend des notes, on travaille sur nos fichiers du bal trad

Iris a déjà prévu les propos qu’elle veut garder pour l’ensemble à venir.
Antoine repère directement en voyant les oscillations (je ne sais pas le terme technique, faudra que je lui demande!) certains tics de langage comme les voilà et les heueueu

Gaëlle va dire bonjour à des copines qui défilent pour la manif contre les retraites que prépare(nt) le gouvernement, qui passe devant le local de Bram

Noura enregistre le texte d’introduction qu’elles ont écrit en commun la dernière fois (je n’étais pas là) avant de devoir partir, Antoine fait des essais pour régler le casque pour s’entendre


Les camarades parties, on reste avec Iris et l’infatiguable Antoine pour terminer.
Antoine nous fait aussi écouter (et regarder!!) le jingle qu’il a fait pour la nuit de la lecture, ainsi qu’un slam qu’il a écrit et dit en direct sur Brahm il y a quelque temps, dont il est toujours content
& Iris enregistre son texte, c’est chouette, il y aura plein d’accents différents!!

On repart en discutant avec Iris, après avoir remercié Antoine pour son accueil, sa disponibilité, et sa pédagogie a appliquer dès l’après-midi avant de lui envoyer d’autres fichiers..!!


atelier du mardi n°16 – pour la nuit de la lecture

Date : 15 janvier 2020


& pour cet événement, ce soir, l’atelier d’écriture du mardi n° 16 va se préoccuper de lecture(s) !

Julien Gracq – En lisant en écrivant :
« La lecture d’un roman (s’il en vaut la peine) n’est pas réanimation ou sublimation d’une expérience déjà plus ou moins vécue par le lecteur : elle EST une expérience, directe et inédite, au même titre qu’une rencontre, un voyage, une maladie ou un amour – mais, à leur différence, une expérience non utilisable »
« Si je pousse la porte d’un livre de Beyle, j’entre en stendhalie »

& ces réflexion sur l’acte de lire, glanées sur le net :
• La vraie question est « Que s’est-il passé ? » quand on a lu.
La lecture est un acte, une production et non une réception.
La pratique de la lecture, ce pourrait être la recherche d’une accommodation juste entre formes et sens.
Impossible de lire sans entrer dans un jeu de rôles (ou alors le livre nous tombe des mains), mais impossible de lire en ignorant tout à fait le jeu des règles littéraires (ou alors le livre devient arbitraire, voire incompréhensible). Si l’on admet que la lecture privée est dominée par le plaisir du jeu de rôles et que la lecture critique est dominée par le plaisir du jeu de règles, on comprend mieux leur complémentarité.

• si la lecture est un jeu de rôles, les rôles y sont largement mis en scène par le texte lui-même. C’est ce qui rend ce jeu de rôles intelligent, c’est ce qui en fait aussi déjà un jeu de règles – et non pas un simple écran de projection de nos imaginaires privés. Bien lire, ce n’est donc nullement refuser l’identification, c’est comprendre à quelles identifications nous sommes invités, comment est modulée notre proximité ou notre distance à ce qui est raconté.

• Le lecteur (en dépit de son apparence immobile, silencieuse, voire légèrement somnolente) est infiniment plus actif qu’un simple récepteur ; non pas un dévoreur de livres, confondant rêve et réalité, mais un constructeur.
Lire, au sens plein du terme, c’est non seulement jouer mais saisir le changement de règles et donc l’activité, chaque fois nouvelle, qu’une œuvre assigne à son lecteur.

• Particulièrement dans le cas de la versification, la règle prend facilement un sens politique, car versifier c’est une certaine façon de concevoir les relations entre loi collective et expression individuelle. Chaque style de versification gère à sa façon ces relations. Et lorsqu’en 1886 le vers libre s’est imposé, c’est-à-dire la possibilité pour chacun d’inventer et de faire varier la longueur des vers en dehors de toute règle préétablie, on a beaucoup associé cette liberté à la démocratie et aux droits de l’individualisme.
Sartre définissait la lecture comme une liberté dirigée.

• Parce qu’elle active les zones cérébrales impliquées dans la théorie de l’esprit, la lecture nous aide à comprendre les autres.
La littérature permet de mieux comprendre les émotions d’autrui.
La littérature a déjà été intégrée dans des programmes destinés à renforcer le lien social, comme ceux visant à promouvoir l’empathie chez les médecins, ou à développer les aptitudes des détenus.

Pour nous aider à travailler, ces superbes illustrations tirées de ce livre
(découvert sur un site qui recense, entre autre, des livres pour enfants qui bien souvent m’enchantent)
& puis aussi, quand on va sur le site de Brainpickings, une fenêtre s’ouvre, et c’est une drôle de publicité :

1 — & la lecture ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

2 — un texte sur la lecture, en vous inspirant d’une illustration parmi celles proposées :

 

 

Sophie Blackall (issu de Velocity of being, et trouvé sur Brainpickings)

 

 

 

 

 

 

 

Ofra Amit (issu de Velocity of being, et trouvé sur Brainpickings)

 

 

 

 

 

Cindy Derby (issu de Velocity of being, et trouvé sur Brainpickings)

 

 

 

 

 

Daniel Salmieri (issu de Velocity of being, et trouvé sur Brainpickings)

 

 

 

 

 

 

Olivier Tallec (issu de Velocity of being, et trouvé sur Brainpickings)

 

 

 

 

 

Shaun Tan (issu de Velocity of being, et trouvé sur Brainpickings)

 

 

3 — Un livre emblématique (avec un ou des personnages “connus”) exporté au Togo, “ailleurs”. Vous dialoguez avec les personnages.

 

 

 

 

 

 

4 — le 1er livre qui vous a puissamment marqué

 

 

 

 

 

 

 

 

 

parler d’un livre qui nous a marqué avec sourire et complicité et manger du gâteau au chocolat ou des fruits secs ou des dates pour se donner plus d’énergie quand l’atelier finit tard après la journée de boulot…

et en parlant boulot, puisque j’étais assise en face, une photo volée en pleine réflexion

& puis, les cahiers des ateliers 14-15 ne sont pas tous finis et revenus à l’atelier, il faut encore attendre pour les admirer tous.
En attendant, justement, une double page pour vous mettre l’eau à la bouche :

 

 


demandez le programme

Date : 13 janvier 2020

Le livre de Saint Pardoux est publié !
En voilà quelques extraits pour vous donner envie :

Dominique et super Jean-Pierre en plein boulot, pendant que Jeanne, dans son assiette, réfléchit dans son bain
   
Justement, je reçois un mail de Jean-Pierre, juste comme j’écris ce post :


de ci de là

Date : 13 janvier 2020

Quitter Marseille again, direction Tulle via Toulouse

& cette fois en train, le seul qui circule de la journée, mais pour ça, dormir à l’hôtel à Marseille (!) pour pouvoir attraper le train un jour de grève des transports en commun… Retrouver Yann à la gare Matabiau au parvis refait, et garer sa lourde valise à l’hotel, again, avant d’aller “en ville”. Commencer la tournée par la Cave Poésie, et tomber au milieu d’une réunion-galette des rois avec Yann couronné et la belle Gisèle hélas trop floue !

Puis un petit tour à Terra Nova, où Fabrice me montre que la librairie ne m’oublie pas, à côté du nouveau résident Eric Arlix

J’en profite pour lorgner le rayon poésie, toujours bien rempli, et repartir avec des trouvailles.

Dont ce livre :

A vous signaler aussi le dernier livre de Nathalie Quintane (POL) — que j’ai acheté à Tulle en décembre, (je ne vais plus dans les librairies à Marseille!!)

& puis, puisque je suis à Toulouse pour un stage le lendemain “écriture et mise en voix, jeu de poésie dans la classe” organisé par le rectorat et la Cave poésie, je rencontre Luke Tinson, qui intervient avec moi, pour discuter de ce que nous allons faire ; et de LSF…
et je ne me rappelle plus à propos de quoi Luke sort ce livre de son sac pour me le montrer (je l’ai photographié pour me souvenir de le lire!)

avant de voir JLG/JLG, autoportrait de décembre (1995) à la cinémathèque, juste après un coup de téléphone de Manée qui m’invite à participer la semaine prchaine à un rdv-interview de Dominique à PEC, avant qu’il parte à la retraite…

Vendredi, autre ambiance et décor. Le stage a lieu à l’hôtel d’Assézat, puisque nous sommes là avec les jeux floraux pour prétexte…
Rdv salle Clémence Isaure pour une présentation du lieu par monsieur le secrétaire perpétuel (!) :


Les fleurs offertes sont aussi perpétuelles que celles des cimetières…
Un concours de poésie en 2020, faut pas croire, et depuis 1324, grâce aux mainteneurs (quel titre!)… On se prend à rêver que déboule dans la cérémonie huilée un nouveau Alfred Jarry..!!

& puis au boulot en demi groupes à l’étage !

Sous le regard couronné de Louis XV et sa traine d’hermine, pour que les profs perpétuent et transmettent la tradition poétique toulousaine…

& puis, vu dans une rue à la pause déjeuner, un vase royal dans son genre:

& le soir, blablacar particulier pour Tulle, où je retrouve la fulgurite devant mon bureau, faut mériter le voyage !


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