Toujours pour la nuit de la lecture, aujourd’hui il faut grimper sur la colline jusqu’à l’école Clément Chausson, sous le ciel bleu-bleu, oui, vous n’avez pas la berlue !
ça grimpe dur !!
des petits chemins servent de raccourcis entre les lacets de la route,
comme le chemin des enfants de troupe au dessus du conseil départemantal,
mais plus d’enfants de troupe, heureusement !
Gaëlle a organisé ma visite, et mon timing est juste parfait, je retrouve madame Lagarde à la porte, et nous partons vers sa classe.
Ils sont 5, dont Charlie, le fils de Gaëlle :
Ils vont nous lire un livre qu’ils ont beaucoup aimé, chacun.e un chapitre (ou 2).
Charlie commence. L’appréhension du départ disparait vite :
Voici l’illustration qu’il a préférée.
Il se présente aussi:
Chapitre 2 : Elia nous fait la lecture.
Voici l’illustration qu’elle a préférée. Pour l’occasion, elle a une plume tatouée en décalcomanie sur le cou, j’apprécie beaucoup cette attention !
Chapitre 3 : lecture de Clément
Voici l’illustration qu’il a préférée
Vous avez maintenant hâte d’entendre le chapitre 4, lu par Lola :
Voici les illustrations qu’elle a préférées
Vite, le chapître 5, lu par Maïssane :
Nous attendons impatiemment le dernier chapitre, lu également par Elia :
Quelle histoire! Un vampire d’encre qui suce la moelle des textes, c’est parfait pour la nuit de la lecture!!
Après ce travail et cette concentration de fin de matinée alors que les autres enfants sont en récréation, il est l’heure pour tous d’aller à la cantine, déjeuner d’autre chose que de l’encre des livres!!!
Mais avant de partir, madame Lagarde nous parle de son travail :
Après cette nouvelle aventure, je redescends toute légère avec mon ombre…
… avant de passer plusieurs heures à préparer les fichiers sons pour Bram et pour le blog..!!
Comme nous avons envie de développer les entretiens et témoignages sonores, et avoir un relai sur Bram fm, ce mardi, formation au montage-nettoyage de fichiers avec Antoine, dans les locaux de Bram.
Notre petit groupe, constitué pour traiter tous les enregistrements du bal trad de décembre : Noura, Adama, (qui ont toutes les deux une petite expérience de radio), Gaëlle et Iris (de PEC) & puis moi.
Antoine est un super pédagogue, on regarde, on prend des notes, on travaille sur nos fichiers du bal trad
Iris a déjà prévu les propos qu’elle veut garder pour l’ensemble à venir.
Antoine repère directement en voyant les oscillations (je ne sais pas le terme technique, faudra que je lui demande!) certains tics de langage comme les voilà et les heueueu…
Gaëlle va dire bonjour à des copines qui défilent pour la manif contre les retraites que prépare(nt) le gouvernement, qui passe devant le local de Bram
Noura enregistre le texte d’introduction qu’elles ont écrit en commun la dernière fois (je n’étais pas là) avant de devoir partir, Antoine fait des essais pour régler le casque pour s’entendre
Les camarades parties, on reste avec Iris et l’infatiguable Antoine pour terminer.
Antoine nous fait aussi écouter (et regarder!!) le jingle qu’il a fait pour la nuit de la lecture, ainsi qu’un slam qu’il a écrit et dit en direct sur Brahm il y a quelque temps, dont il est toujours content
& Iris enregistre son texte, c’est chouette, il y aura plein d’accents différents!!
On repart en discutant avec Iris, après avoir remercié Antoine pour son accueil, sa disponibilité, et sa pédagogie a appliquer dès l’après-midi avant de lui envoyer d’autres fichiers..!!
& pour cet événement, ce soir, l’atelier d’écriture du mardi n° 16 va se préoccuper de lecture(s) !
Julien Gracq – En lisant en écrivant : « La lecture d’un roman (s’il en vaut la peine) n’est pas réanimation ou sublimation d’une expérience déjà plus ou moins vécue par le lecteur : elle EST une expérience, directe et inédite, au même titre qu’une rencontre, un voyage, une maladie ou un amour – mais, à leur différence, une expérience non utilisable » « Si je pousse la porte d’un livre de Beyle, j’entre en stendhalie »
& ces réflexion sur l’acte de lire, glanées sur le net : • La vraie question est « Que s’est-il passé ? » quand on a lu. La lecture est un acte, une production et non une réception. La pratique de la lecture, ce pourrait être la recherche d’une accommodation juste entre formes et sens. Impossible de lire sans entrer dans un jeu de rôles (ou alors le livre nous tombe des mains), mais impossible de lire en ignorant tout à fait le jeu des règles littéraires (ou alors le livre devient arbitraire, voire incompréhensible). Si l’on admet que la lecture privée est dominée par le plaisir du jeu de rôles et que la lecture critique est dominée par le plaisir du jeu de règles, on comprend mieux leur complémentarité.
• si la lecture est un jeu de rôles, les rôles y sont largement mis en scène par le texte lui-même. C’est ce qui rend ce jeu de rôles intelligent, c’est ce qui en fait aussi déjà un jeu de règles – et non pas un simple écran de projection de nos imaginaires privés. Bien lire, ce n’est donc nullement refuser l’identification, c’est comprendre à quelles identifications nous sommes invités, comment est modulée notre proximité ou notre distance à ce qui est raconté.
• Le lecteur (en dépit de son apparence immobile, silencieuse, voire légèrement somnolente) est infiniment plus actif qu’un simple récepteur ; non pas un dévoreur de livres, confondant rêve et réalité, mais un constructeur.
Lire, au sens plein du terme, c’est non seulement jouer mais saisir le changement de règles et donc l’activité, chaque fois nouvelle, qu’une œuvre assigne à son lecteur.
• Particulièrement dans le cas de la versification, la règle prend facilement un sens politique, car versifier c’est une certaine façon de concevoir les relations entre loi collective et expression individuelle. Chaque style de versification gère à sa façon ces relations. Et lorsqu’en 1886 le vers libre s’est imposé, c’est-à-dire la possibilité pour chacun d’inventer et de faire varier la longueur des vers en dehors de toute règle préétablie, on a beaucoup associé cette liberté à la démocratie et aux droits de l’individualisme. Sartre définissait la lecture comme une liberté dirigée.
• Parce qu’elle active les zones cérébrales impliquées dans la théorie de l’esprit, la lecture nous aide à comprendre les autres. La littérature permet de mieux comprendre les émotions d’autrui. La littérature a déjà été intégrée dans des programmes destinés à renforcer le lien social, comme ceux visant à promouvoir l’empathie chez les médecins, ou à développer les aptitudes des détenus.
Pour nous aider à travailler, ces superbes illustrations tirées de ce livre
(découvert sur un site qui recense, entre autre, des livres pour enfants qui bien souvent m’enchantent)
& puis aussi, quand on va sur le site de Brainpickings, une fenêtre s’ouvre, et c’est une drôle de publicité :
1 — & la lecture ?
2 — un texte sur la lecture, en vous inspirant d’une illustration parmi celles proposées :
Sophie Blackall (issu de Velocity of being, et trouvé sur Brainpickings)
Ofra Amit (issu de Velocity of being, et trouvé sur Brainpickings)
Cindy Derby (issu de Velocity of being, et trouvé sur Brainpickings)
Daniel Salmieri (issu de Velocity of being, et trouvé sur Brainpickings)
Olivier Tallec (issu de Velocity of being, et trouvé sur Brainpickings)
Shaun Tan (issu de Velocity of being, et trouvé sur Brainpickings)
3 — Un livre emblématique (avec un ou des personnages “connus”) exporté au Togo, “ailleurs”. Vous dialoguez avec les personnages.
4 — le 1er livre qui vous a puissamment marqué
parler d’un livre qui nous a marqué avec sourire et complicité et manger du gâteau au chocolat ou des fruits secs ou des dates pour se donner plus d’énergie quand l’atelier finit tard après la journée de boulot…
et en parlant boulot, puisque j’étais assise en face, une photo volée en pleine réflexion
& puis, les cahiers des ateliers 14-15 ne sont pas tous finis et revenus à l’atelier, il faut encore attendre pour les admirer tous.
En attendant, justement, une double page pour vous mettre l’eau à la bouche :
Quitter Marseille again, direction Tulle via Toulouse
& cette fois en train, le seul qui circule de la journée, mais pour ça, dormir à l’hôtel à Marseille (!) pour pouvoir attraper le train un jour de grève des transports en commun… Retrouver Yann à la gare Matabiau au parvis refait, et garer sa lourde valise à l’hotel, again, avant d’aller “en ville”. Commencer la tournée par la Cave Poésie, et tomber au milieu d’une réunion-galette des rois avec Yann couronné et la belle Gisèle hélas trop floue !
Puis un petit tour à Terra Nova, où Fabrice me montre que la librairie ne m’oublie pas, à côté du nouveau résident Eric Arlix
J’en profite pour lorgner le rayon poésie, toujours bien rempli, et repartir avec des trouvailles.
Dont ce livre :
A vous signaler aussi le dernier livre de Nathalie Quintane (POL) — que j’ai acheté à Tulle en décembre, (je ne vais plus dans les librairies à Marseille!!)
& puis, puisque je suis à Toulouse pour un stage le lendemain “écriture et mise en voix, jeu de poésie dans la classe” organisé par le rectorat et la Cave poésie, je rencontre Luke Tinson, qui intervient avec moi, pour discuter de ce que nous allons faire ; et de LSF…
et je ne me rappelle plus à propos de quoi Luke sort ce livre de son sac pour me le montrer (je l’ai photographié pour me souvenir de le lire!)
avant de voir JLG/JLG, autoportrait de décembre (1995) à la cinémathèque, juste après un coup de téléphone de Manée qui m’invite à participer la semaine prchaine à un rdv-interview de Dominique à PEC, avant qu’il parte à la retraite…
Vendredi, autre ambiance et décor. Le stage a lieu à l’hôtel d’Assézat, puisque nous sommes là avec les jeux floraux pour prétexte…
Rdv salle Clémence Isaure pour une présentation du lieu par monsieur le secrétaire perpétuel (!) :
Les fleurs offertes sont aussi perpétuelles que celles des cimetières…
Un concours de poésie en 2020, faut pas croire, et depuis 1324, grâce aux mainteneurs (quel titre!)… On se prend à rêver que déboule dans la cérémonie huilée un nouveau Alfred Jarry..!!
& puis au boulot en demi groupes à l’étage !
Sous le regard couronné de Louis XV et sa traine d’hermine, pour que les profs perpétuent et transmettent la tradition poétique toulousaine…
& puis, vu dans une rue à la pause déjeuner, un vase royal dans son genre:
& le soir, blablacar particulier pour Tulle, où je retrouve la fulgurite devant mon bureau, faut mériter le voyage !
(C’est au Havre et ça ne provient pas du magnifique film Le Havre de Kaurismaki, mais de graphistes dont j’ai oublié le nom, y’a quelques années. J’ai revu cette photo ce matin, et ça a fait tilt : c’est pas loin de ce qui nous préoccupe avec Xavier Pinon et nos paysages textuels ! & de notre réflexion, qu’il ne faut pas avoir n’importe quelle bagnole pour ce faire…) ♠
Xavier, que ça fait beaucoup rire, pense que je vais améliorer mon savoir sur le monde et les métiers grâce à blablacar… (merci Macron et la réforme des retraites..!)
Après le commandant de sous-marin, l’assistant pour les personnes handicapées moteur ou psy, … en allant à Albi la semaine dernière réfléchir et faire de la porcelaine avec Violaine, j’ai voyagé avec un jeune homme qui s’occupe des installations informatiques des systèmes de sécurité des villes, à Strasbourg et environs ; euphémisme pour dire systèmes de surveillance… C’était intéressant, et il évitait de penser à leur usage “en pire”, comme un bon ouvrier à la Manu évitait de penser qu’il fabriquait des armes pour dégommer d’autres hommes comme lui…
En plus, il s’occupait de jeux vidéo, et était arbitre de rugby en division 3. J’ai appris plein de choses sur l’arbitrage et le “métier” d’arbitre, et je dois convenir qu’en temps normal, le rugby n’est pas ma passion…
Vers Saint-Affrique, la buée a envahi les vitres de la voiture et la ventilation a capoté, et on a fait un long trajet en ne voyant pratiquement rien de la route des causses (une petite fenêtre débuée de 20 cm devant nous), ce qui ne nous empêchait pas d’aller assez vite avec une musique style techno planante qui allait bien avec la situation..!
J’ai repensé à nos images de Pourquoi l’horizon ne suit pas la barre tordue du balcon et au fait qu’il ne fallait absolument pas que j’oublie d’enlever la plaque du brouillard du rétroprojecteur pour la scène suivante quand Xavier revient derrière le rideau..! ♣
& puis à Albi, Andreas, qui m’a aidé à installer ce site, en a fait la mise à jour, et alors, j’ai découvert le “nouveau” wordpress 5 avec l’éditeur de texte “Gutenberg”… Question Gutenberg, je préfère travailler au plomb..! Va encore falloir plusieurs mois d’apprentissage !
& j’ai demandé à Andreas comment marchait les “compteurs” sur les sites, j’y pensais pour voir combien de personnes lisent ce blog, par exemple. Après les systèmes de surveillance dans les villes, découvrir ce système de “surveillance marketing” sur la toile, même si on le sait, m’a filé des frissons ! ♥
— & Jean-Pierre m’a rappelée à l’ordre pour notre projet (dont on avait commencé à parler l’année dernière ou celle d’avant…) sur le son… Faut que je ressorte les livres que je devais lire..!
Avec en prime 2 photos qu’il avait prises pour m’envoyer, lors de l’expo de Roger Ballen à la Halle saint Pierre (ça me sert aussi de rappel, car si j’ai vu l’expo, je ne me souviens absolument pas de ces pièces!)
— & Manée manipule son grille-pain mécanique à tirette, qui devrait plaire à jean-Pierre
…mais qui ne dit pas good morning comme celui de notre cabinet de curiosités, pour la bonne humeur du matin (quand faut allumer le feu…)
— Ça me fait penser qu’avec Violaine, la semaine dernière, on a trouvé un autre usage au pèle-pomme mécanique (une machine indispensable!), pour enrouler du tissu encollé :
♦
& puis le plan de l’église, pour l’expo de septembre, qui commence à me secouer les neurones dans tous les sens…
Fin 19, allez, hop, on passe à 20..! Avec les sablés de Christine, c’est meilleur
& puis, les vœux en affiche pour une année 20/20
avec une vieille expression qu’on n’entend plus beaucoup, c’est l’occasion de la ressortir :
& retrouver le plaisir (et le temps) de la composer et de tout caler au poil, comme l’assemblage d’un jeu
L’occasion aussi de ranger mon bureau à l’atelier d’imprimerie après le boulot dans une lumière “intimiste”
et retrouver des “merveilles”, comme cette couverture complètement décalée, passée de travers à l’impression, mais un résultat top, auquel on ne pense(rait) pas… Pourquoi faudrait-il que tout soit toujours droit…
& un peu plus faire sienne la phrase de la carte E.V., si possible…
& puis, aussi, ranger le bureau de l’ordinateur, avec des images de créations en verre :
les “méduses” de Daniela Forti
Les carapaces de Kit Paulson
et les écritures en ver(re)
& pour l’efficacité et visibilité du message, cette photo dans la rue à Marseille :
& découverte chez Violaine à Albi, Iris Bodemer, qui fait des bijoux à l’extrême raffinement brut :
Aujourd’hui, petit rappel de la vitrine au Lieu/lien : ça commence comme ça…
& puis aussi, c’est l’occase de ressortir une des photos faites avec Xavier Pinon à Arromanches en novembre… Ce petit arbre nous plaisait bien par avance..!
et puis, pour (ne pas )répondre à Marie-Thérèse,
mais mettre encore de l’eau (salée) au moulin, les photos du jour (après 3 jours de tempête), qui repose toujours la question du texte dans le paysage :
atelier 14 mardi 17 décembre Vous avez devant vous un cahier constitué de pages de papiers et formats différents
+ un jeu de cartes fabriqué l’année dernière en atelier
note : une feuille constitue 2 pages (recto/verso)
note 2 : vous aurez peu de temps pour travailler, donc ne réfléchissez pas trop, foncez, quitte à revenir sur les pages déjà écrites par la suite
“Bonsoir Fabienne ! Super atelier encore une fois. Avec un exercice complexe en fait. On était tous super concentré, tu aurais vu ça. S’il n’y avait pas eu les flonflons de Noël dans la rue, on aurait pu entendre une mouche voler ! 😉 Mais bon, on a beau avoir été très studieux, très appliqués, ben on a pas fini … si ! On s’est dit qu’on continuerait à la maison. Et voilà quelques photos.
la 1ère heure : un demi-cahier
remplissez chaque page après avoir tiré une carte
(une carte – choisissez un des côtés — pour chaque page).
La carte doit vous inspirer un texte et une forme graphique, que vous adapterez également au format, couleur, matière du papier de chaque page.
Les pages du cahier forment une suite.
Arrivé au milieu, donnez un titre à votre demi cahier, inscrivez-le sur la couverture.
La 2ème heure :
Echangez votre cahier avec un.e camarade.
Après l’avoir regardé (sans y passer trop de temps…), poursuivez l’écriture-mise en page du cahier (en tirant des cartes à chaque page) jusqu’à la page finale.
Donnez lui un titre que vous inscrivez en 4ème de couverture.
Reprenez votre cahier « original » et admirez la suite donnée à votre travail
En fait on en a fait chacun au moins une bonne douzaine. Là tu n’as qu’un échantillon. Je te souhaite une très belle fin d’année et de joyeuses fêtes ! Bises A l’année prochaine ! Agnès
Un message de Jean-Pierre, après des difficultés à se parler au téléphone :
X et je passe le dimanche aprem au bal trad, à poser des questions sur la danse aux gens (nombreux, de tous les âges et nationalités) qui sont là, pour notre(nos) projet(s) radio avec Bram’fm (… à suivre…)
Danse orientale, marocaine :
Démonstration de danse bavaroise, où il ne faut pas avoir de problème de synchronisation :
Aujourd’hui mardi 10 décembre, rdv à l’artothèque, pour écrire sur certaines œuvres exposées.
David est dans le journal :
1. Chacun.e choisit l’œuvre qu’il préfère : La décrire, y mettre un personnage, et l’auteur.
Essayez de rendre compte de la construction de l’œuvre dans votre écrit.
2. Chacun.e choisit une œuvre à emporter chez soi. Vous vivez avec une semaine, quelle est cette expérience ?
3. Chacun.e récupère l’œuvre qu’il aime le moins pendant une semaine…
4. Jeanne m’a offert des fulgurites ! Waouh! C’est Noël avant l’heure et l’emballage cadeau est top (et la boîte Legrand bien choisie pour ce “résultat” d’énergie qui circule!) !!
Alors, profitons-en pour en parler à la fin de l’atelier ; après les œuvres sur le travail, la suite : le travail de la foudre !
• Un post it laissé exprès sur mon mur par Dans le ciel tout va bien (c’est pas mal comme nom d’auteur!)
• Une semaine marseillaise à travailler et réfléchir…
• C’est aussi le début de Laterna Magica, avec Fotokino
& l’expo de Pascale Lefebvre à Altiplano, pour laquelle nous avons fait quelques affiches avec des extraits du texte de Hawthorne
avec les 2 affiches, en sérigraphie et en riso
et puis, allez, le monotype que je préfère!
• A Tulle aussi, vernissage de l’expo AU TRAVAIL à l’artothèque
Gérard Paris Clavel
• et puis ces 2 choses côte à côte dans ma bibli :
& si vous ne connaissez pas Grand Magasin, précipitez-vous sur cette videod’une conférence sur le travail D’ORFEVRE ET DE COCHON (ne ratez pas le moment vers la fin où ils parlent taux horaire…)
et aussi une petite video sur le travail artistique… :